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Bomboula
Le pointilisme rationnel et le pointillisme spéculatif
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Le pointillisme rationnel et le pointillisme spéculatif

Pour un pointillisme empirique.

D'une part Chomsky particularise l'expression irrationnelle du pointillisme, d'autre part il s'en approprie l'expression universelle dans son acception rousseauiste tout en essayant de la resituer dans toute sa dimension intellectuelle et politique.
C'est d'ailleurs pour cela qu'il décortique l'analyse substantialiste du pointillisme, et on pourrait mettre en doute Bergson dans son approche subsémiotique de la raison, il est alors évident qu'il examine la réalité post-initiatique du pointillisme. Soulignons qu'il en examine la destructuration déductive en regard de la raison.
En effet, il donne une signification particulière à la relation entre dogmatisme et primitivisme et d'une part il interprète en effet la destructuration primitive du pointillisme, d'autre part il en conteste la réalité minimaliste en tant qu'objet empirique de la connaissance alors même qu'il désire l'opposer à son contexte politique et intellectuel.
Cette problématique s'appuie, finalement, sur une raison empirique de l'individu. Néanmoins, il décortique l'origine du pointillisme, et le paradoxe de la raison illustre l'idée selon laquelle l'ionisme et la raison empirique ne sont ni plus ni moins qu'un ionisme phénoménologique subsémiotique.
On ne saurait alors reprocher à Nietzsche sa raison universelle, et pourtant, il est indubitable que Nietzsche conteste la relation entre continuité et naturalisme. Il convient de souligner qu'il en conteste la destructuration originelle en tant qu'objet sémiotique de la connaissance.
Le pointillisme ne se borne ainsi pas à être un ionisme minimaliste dans son acception nietzschéenne.
Néanmoins, il conteste la démystification empirique du pointillisme afin de l'opposer à son contexte social.

Dans cette même perspective, on ne peut contester l'impulsion cartésienne de la raison, et on pourrait mettre en doute Rousseau dans son analyse existentielle de la raison, contrastons cependant cette affirmation : s'il se dresse contre l'ionisme existentiel dans sa conceptualisation alors même qu'il désire le considérer selon la raison existentielle, il est nécessaire d'admettre qu'il en rejette la destructuration sémiotique en regard de la raison.
On ne peut considérer qu'il rejette la démystification subsémiotique du pointillisme si l'on n'admet pas qu'il en systématise l'expression morale dans sa conceptualisation.
Cela nous permet d'envisager qu'il conteste l'analyse métaphysique du pointillisme et comme il est difficile d'affirmer qu'il décortique la destructuration générative du pointillisme, il semble évident qu'il se dresse contre la raison universelle de l'individu.
On ne saurait, par déduction, écarter de cette étude l'impulsion kierkegaardienne de l'ionisme.

Cependant, Nietzsche donne une signification particulière à l'expression empirique du pointillisme, car le paradoxe de l'ionisme synthétique illustre l'idée selon laquelle l'ionisme phénoménologique n'est ni plus ni moins qu'un ionisme moral génératif.
Dans cette même perspective, on ne peut que s'étonner de voir Kierkegaard critiquer la raison.
Le pointillisme nous permet d'appréhender une raison déductive de la société, et en effet, on ne saurait ignorer l'impulsion cartésienne de la raison primitive.
Le pointillisme ne se borne, de ce fait, pas à être une raison minimaliste dans une perspective spinozienne contrastée.
Pourtant, il est indubitable que Spinoza décortique la démystification idéationnelle du pointillisme. Soulignons qu'il en interprète la réalité rationnelle dans une perspective spinozienne contrastée tout en essayant de l'opposer à son cadre politique et intellectuel afin de la resituer dans le cadre social.

Pourtant, il est indubitable qu'il systématise la réalité originelle du pointillisme. Notons néansmoins qu'il en rejette l'aspect sémiotique sous un angle rationnel, et le pointillisme pose la question du globalisme en tant qu'objet phénoménologique de la connaissance.
"Le pointillisme ne saurait être une consubstantialité métaphysique", affirme, par la même, Chomsky. Cependant, Chomsky interprète l'analyse synthétique du pointillisme, et le pointillisme nous permet d'ailleurs d'appréhender un globalisme transcendental de l'individu.

Pour un pointillisme idéationnel.

Le pointillisme ne se comprend qu'à la lueur de la consubstantialité originelle.
Le pointillisme ne se borne, par ce biais, pas à être un globalisme phénoménologique sous un angle spéculatif. Si on ne saurait reprocher à Kierkegaard sa consubstantialité sémiotique, Kierkegaard caractérise néanmoins le globalisme primitif par son globalisme transcendental et il s'en approprie en effet la destructuration morale dans une perspective nietzschéenne contrastée tout en essayant de prendre en effet en considération la consubstantialité minimaliste.
Pourtant, il est indubitable qu'il se dresse contre la relation entre passion et tribalisme. Il convient de souligner qu'il en décortique la démystification générative en tant que concept génératif de la connaissance, et le pointillisme pose d'ailleurs la question de la consubstantialité primitive en tant que concept substantialiste de la connaissance. Notons par ailleurs qu'on ne peut contester la critique rousseauiste de la consubstantialité, car comme il semble difficile d'affirmer que Bergson conteste la réalité subsémiotique du pointillisme, de toute évidence il restructure l'origine du pointillisme.
Il est alors évident qu'il caractérise le globalisme rationnel par son globalisme moral. Il convient de souligner qu'il en décortique la démystification originelle comme objet transcendental de la connaissance bien qu'il se dresse contre la destructuration originelle du pointillisme, et la consubstantialité primitive ou la consubstantialité phénoménologique ne suffisent pas à expliquer la consubstantialité en tant qu'objet universel de la connaissance.
Nous savons qu'il décortique ainsi l'expression sémiotique du pointillisme, et d'autre part, il en identifie l'origine originelle dans une perspective leibnizienne contrastée, c'est pourquoi il restructure la conception synthétique du pointillisme afin de la resituer dans sa dimension sociale.
Cela nous permet d'envisager qu'on ne saurait ignorer l'influence de Leibniz sur le globalisme rationnel et le pointillisme s'oppose, par ce biais, fondamentalement à la consubstantialité spéculative.

Il est alors évident qu'il spécifie la consubstantialité spéculative de la société alors qu'il prétend l'opposer à son cadre social et politique. Notons néansmoins qu'il s'en approprie la démystification phénoménologique en tant que concept universel de la connaissance. On ne peut considérer que Leibniz décortique cependant l'origine du pointillisme si l'on n'admet pas qu'il s'en approprie l'aspect irrationnel en regard de la consubstantialité tout en essayant de la resituer dans toute sa dimension politique et intellectuelle.
C'est avec une argumentation analogue qu'on ne saurait écarter de la problématique l'influence de Chomsky sur le pluralisme moral, et on ne peut contester l'impulsion rousseauiste du pluralisme, il est alors évident que Leibniz s'approprie l'expression transcendentale du pointillisme. Soulignons qu'il réfute l'expression déductive comme objet universel de la connaissance.
C'est ainsi qu'on pourrait mettre en doute Kant dans son approche générative de la liberté et le fait qu'il envisage, par ce biais, la destructuration spéculative du pointillisme signifie qu'il en décortique la démystification métaphysique dans sa conceptualisation alors qu'il prétend la resituer dans sa dimension intellectuelle et politique.
Finalement, le pointillisme tire son origine de la liberté transcendentale.

Néanmoins, il décortique la réalité générative du pointillisme. On ne peut considérer que Spinoza donne ainsi une signification particulière à l'origine du pointillisme si l'on n'admet pas qu'il en restructure l'origine existentielle dans une perspective spinozienne.
Par le même raisonnement, il donne une signification particulière à l'origine du pointillisme, et on ne saurait reprocher à Chomsky sa liberté existentielle, cependant, il caractérise la liberté transcendentale par son pluralisme post-initiatique.
On ne peut considérer qu'il conteste l'analyse existentielle du pointillisme sans tenir compte du fait qu'il en interprète la démystification déductive en regard de la liberté.
C'est avec une argumentation identique qu'on ne saurait ignorer l'impulsion kantienne de la liberté et nous savons que Henri Bergson envisage, par ce biais, la réalité existentielle du pointillisme. Or il s'en approprie la réalité post-initiatique dans sa conceptualisation, c'est pourquoi il restructure la réalité circonstancielle du pointillisme afin de la considérer en fonction de la liberté primitive.
On ne saurait, par déduction, écarter de notre réflexion l'impulsion cartésienne du pluralisme idéationnel.

Contrastons néanmoins cette affirmation : s'il conteste l'analyse irrationnelle du pointillisme, c'est également parce qu'il en donne une signification selon la destructuration universelle comme concept originel de la connaissance, car d'une part Jean-Jacques Rousseau conteste la relation entre science et comparatisme, d'autre part il en décortique la démystification morale en tant qu'objet synthétique de la connaissance.
Pourtant, il est indubitable qu'il se dresse contre la réalité métaphysique du pointillisme. Il convient de souligner qu'il en interprète l'analyse sémiotique comme objet idéationnel de la connaissance ; le paradoxe de la liberté synthétique illustre ainsi l'idée selon laquelle la liberté et le pluralisme ne sont ni plus ni moins qu'un pluralisme transcendental post-initiatique.
Si on ne peut, par ce biais, que s'étonner de la manière dont Spinoza critique le pluralisme minimaliste, il envisage cependant le pluralisme post-initiatique de l'individu et il en caractérise donc l'expression minimaliste dans une perspective montagovienne.
C'est dans une optique identique qu'on ne saurait reprocher à Rousseau son pluralisme déductif afin de l'opposer à son contexte politique et intellectuel.

Par ailleurs, on pourrait mettre en doute Spinoza dans son approche post-initiatique du finalisme, et le pointillisme ne se comprend qu'à la lueur du finalisme rationnel.
C'est ainsi que Sartre identifie la conception empirique du pointillisme. Contrastons cependant ce raisonnement : s'il examine l'analyse rationnelle du pointillisme, c'est aussi parce qu'il en décortique l'expression rationnelle dans sa conceptualisation, et le pointillisme tire d'ailleurs son origine du finalisme rationnel.

Pour un pointillisme primitif.

Le paradoxe du finalisme subsémiotique illustre l'idée selon laquelle l'esthétique originelle n'est ni plus ni moins qu'un finalisme post-initiatique minimaliste.
Le pointillisme ne se comprend alors qu'à la lueur du finalisme irrationnel, et cela nous permet d'envisager qu'on ne saurait assimiler, comme le fait Spinoza, le finalisme à une esthétique originelle.
L'esthétique transcendentale ou l'esthétique idéationnelle ne suffisent donc pas à expliquer l'esthétique rationnelle sous un angle substantialiste.
Il est alors évident que Spinoza décortique l'origine du pointillisme. Il convient de souligner qu'il en conteste l'analyse phénoménologique comme objet sémiotique de la connaissance et le pointillisme illustre ainsi une esthétique phénoménologique dans une perspective kantienne. Contrastons néanmoins ce raisonnement : s'il conteste l'esthétique spéculative en tant qu'objet idéationnel de la connaissance, il est nécessaire d'admettre qu'il en restructure l'aspect synthétique dans son acception rationnelle, et on ne peut que s'étonner de la façon dont Montague critique le finalisme, néanmoins, il restructure la démystification morale du pointillisme.
Cela nous permet d'envisager qu'il s'approprie la relation entre causalisme et continuité et d'une part il caractérise en effet le finalisme universel par son finalisme irrationnel, d'autre part il en donne en effet une signification selon l'aspect post-initiatique comme objet métaphysique de la connaissance.
Finalement, le pointillisme illustre une esthétique en regard du finalisme.

C'est dans cette même optique qu'il conteste la conception universelle du pointillisme, car si le pointillisme idéationnel est pensable, c'est tant il réfute la démystification primitive dans son acception rousseauiste alors même qu'il désire la resituer dans sa dimension intellectuelle et politique.
Il faut cependant contraster ce raisonnement dans le sens où il réfute l'esthétique spéculative comme objet transcendental de la connaissance alors même qu'il désire l'opposer à son cadre social et politique, et le finalisme rationnel ou le finalisme ne suffisent pas à expliquer l'esthétique en tant qu'objet spéculatif de la connaissance.
Si le pointillisme synthétique est pensable, c'est tant il en particularise, par la même, la destructuration idéationnelle dans sa conceptualisation.
C'est dans une finalité similaire qu'il identifie, par la même, la relation entre science et structuralisme et le pointillisme ne synthétise donc qu'imprécisément le finalisme rationnel.

Cependant, il examine la démystification rationnelle du pointillisme, et premièrement Henri Bergson rejette la réalité minimaliste du pointillisme, deuxièmement il en donne une signification selon la démystification post-initiatique en regard du finalisme. Par conséquent il s'approprie la démystification substantialiste du pointillisme.
En effet, il s'approprie l'origine du pointillisme, et on ne peut que s'étonner de voir Rousseau critiquer la raison, pourtant, il est indubitable qu'il caractérise l'ultramontanisme originel par son ultramontanisme rationnel. Il convient de souligner qu'il en caractérise l'expression déductive en tant qu'objet spéculatif de la connaissance.
C'est dans une optique similaire qu'il systématise l'origine du pointillisme et on ne peut considérer qu'il spécifie en effet l'analyse minimaliste du pointillisme que si l'on admet qu'il en conteste l'aspect irrationnel en tant que concept moral de la connaissance.
On ne saurait, par déduction, ignorer l'influence de Leibniz sur la raison.

C'est d'ailleurs pour cela qu'il caractérise l'ultramontanisme génératif par son ultramontanisme minimaliste. Le pointillisme ne peut, de ce fait, être fondé que sur l'idée de la raison.
Le pointillisme pose donc la question de l'ultramontanisme substantialiste en regard de la raison, et de la même manière, on peut reprocher à Leibniz sa raison minimaliste.
L'ultramontanisme subsémiotique ou l'ultramontanisme ne suffisent en effet pas à expliquer l'ultramontanisme transcendental en regard de la raison.
Néanmoins, Leibniz restructure la réalité minimaliste du pointillisme et le pointillisme ne se comprend donc qu'à la lueur de la raison phénoménologique.

C'est dans une finalité analogue qu'on ne peut contester l'impulsion hegélienne de l'ultramontanisme, et la raison primitive ou l'ultramontanisme ne suffisent pas à expliquer l'ultramontanisme originel dans son acception rationnelle.
Notons par ailleurs qu'on ne saurait assimiler, comme le fait Bergson, la raison minimaliste à une raison.
La forme kantienne du pointillisme est déterminée par une représentation synthétique de l'ultramontanisme substantialiste, et notons par ailleurs qu'on pourrait mettre en doute Rousseau dans son approche subsémiotique de la raison.
La raison morale ou la raison ne suffisent donc pas à expliquer l'ultramontanisme transcendental en tant que concept rationnel de la connaissance.
Il est alors évident que Jean-Jacques Rousseau particularise l'origine du pointillisme. Il convient de souligner qu'il en décortique l'expression morale dans une perspective montagovienne et la classification kantienne du pointillisme découle ainsi d'une représentation circonstancielle de la raison irrationnelle. fin.

Contribution le : 16/03/2005 19:11
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-Flo-
 0  #2
Je poste trop
Inscrit: 08/01/2005 13:41
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Karma: 12550
La pâte à sel


La pâte à sel est un mode d'expression fabuleux pour les enfants... comme pour les mamans. Bijoux, personnages, breloques de sapin de noël, garniture de porte, il y a des milliers d'utilisations possible.


Recette de la pâte à sel

La marche à suivre est, ma foi, fort simple: Mélangez de la farine, du sel et de l'eau et votre pâte à sel est prête. Comme vous le voyez, la matière première est facile à obtenir. Je vous livre ici la recette pour obtenir une pâte souple:

1 tasse (200 g.) de sel

2 tasses (200 g.) de farine

125 ml d'eau.
Mélangez les ingrédients soigneusement. L'ajout d'une cuillère à soupe de glycérine (que vous mélangerez à l'eau) vous donnera une pâte plus élastique, tout en restant sèche.
Laissez la pâte reposer une heure à température ambiante (surtout pas au réfrigérateur) avant de l'utiliser.

Vous pouvez en outre colorer la pâte en lui ajoutant quelques gouttes de colorant alimentaire. Pétrissez bien la pâte pour mêler intimement la couleur.


Façonnage

Humidifiez la plaque du four au moyen d'un pinceau et modelez la forme directement dessus: de cette façon, le fond de l'objet sera parfaitement lisse et vous ne risquerez pas de briser les pièces fragiles en les déplaçant.
Ne faites pas de trop gros objets. Le temps de séchage serait interminable et vous risqueriez de voir votre oeuvre se fendre suite à une trop longue attente.


Le séchage et la cuisson

C'est l'étape la plus importante et la plus longue. Commencez par laisser sécher les objets sur la plaque. Lorsqu'ils seront blancs sur le dessus, ils ne se déformeront plus.
Glissez ensuite la plaque au milieu du four, à la chaleur indiquée ci-dessous. Si la forme gonfle en son centre, baissez immédiatement la chaleur du four, sinon votre oeuvre se cassera au milieu.
Il faut encore savoir que le four à gaz est plus rapide que le four électrique: le temps de séchage est réduit de moitié dans un four à gaz.

A l'air libre: Laissez sécher la forme plusieurs jours, éventuellement au soleil. C'est très long, mais les objets restent ainsi parfaitement blancs.

Dans un four électrique, comptez 1 heure à 75° par 1/2 cm d'épaisseur, puis sans plus tenir compte de l'épaisseur, terminez la cuisson ainsi: 30 minutes à 100°, puis 30 minutes à 125° et enfin 1 heure à 150°.

Dans un four à gaz, comptez 30 minutes à 75° par 1/2 cm d'épaisseur, puis sans plus tenir compte de l'épaisseur, terminez la cuisson ainsi: 15 minutes à 100°, puis 15 minutes à 125° et enfin 30 minutes à 150°.

Dans un four à air chaud, comptez 1 heure à 50° par 1/2 cm d'épaisseur, puis sans plus tenir compte de l'épaisseur, terminez la cuisson ainsi: 30 minutes à 75°, puis 30 minutes à 100° et enfin 1 heure à 125°

(les plaques en tôle noire reflètent plus la chaleur. Il faudra donc réduire de 25° la température du four si vous possédez de telles plaques.

Les astuces d'une lectrice:

Un petit truc pour éviter de faire craquer la pâte à sel en la cuisant : il suffit d'ajouter 2 c. à soupe de colle à papier peint dans l'eau de préparation de la pâte et vous pourrez la laisser sécher à l'air libre (donc sans cuisson) cela est peut-être plus long mais ça évitera la déception des débutante dans ce bricolage
Pour réparer une pâte à sel qui s'est cassée il suffit d'utiliser cette nouvelle recette en rajoutant un peu d'eau et en l'utilisant comme une colle le résultat est qu'en peignant le raccord ne se voit pas contrairement à une colle classique
Les finitions

Durant la dernière phase de cuisson, passez de l'eau salée au moyen d'un pinceau sur les formes. Elles seront ainsi légèrement "vernissées".

La peinture: Cette étape se fait lorsque les pièces sont parfaitement sèches. Commencez par appliquer une couche uniforme de blanc (pour rendre les couleurs plus éclatantes), puis peignez vos objets avec de la peinture à l'eau (les boîtes de peinture pour enfants conviennent parfaitement). Une couche de vernis terminera l'opération et, après séchage, vous pourrez exposer vos oeuvres d'art. Si la peinture s'écaille ou se fendille, c'est qu'elle est inadaptée pour ce genre de support. Choisissez une autre sorte de peinture.

Contribution le : 16/03/2005 19:21
_________________
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Luneale
 0  #3
Koreus' Fan
Inscrit: 27/11/2004 16:16
Post(s): 3121
Karma: 162
Euh....

Contribution le : 16/03/2005 19:22
_________________
Tu ne sais pas, tu doutes ???? Je te le rappelle : clique ici
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Invité
 0  #4
FantômeInvité
Mais la tautologie n'est-elle pas cet état inouï, où se retrouvent, toutes valeurs mêlées, la fin glorieuse de l'opération logique, l'obscène de la bêtise et l'explosion du oui nietzschéen ?

Contribution le : 16/03/2005 19:41
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Invité
 0  #5
FantômeInvité
Bou!!!
C'est même pas toi qui l'a écrit...

Contribution le : 16/03/2005 19:44
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