Pitbull vélo + Rampe saut raté + Blackberry adiction + Comic book Auschwitz

Si vous avez la flemme de promener votre chien, en marchant, amenez-le avec vous sur votre vélo


Il veut sauter dans un lac en s'élançant sur son vélo mais la rampe était trop à gauche


Vous êtes drogué au Blackberry?


Un comic book sur le camp de concentration à Auschwitz.
TRAD RAPIDOS:
Ils ont trouvé l’amour dans l’horreur des camps de concentration nazi en Pologne, mais malgré leur évasion n’ont jamais réussi à partager le rêve d’une nouvelle vie ensemble.
L’histoire vraie a été transposée sur un comic book Polonais. Leurs créateurs espèrent que ça aidera les jeunes lecteurs à comprendre l’histoire.
Les dessins sont sinistres et effrayants, mais c’est exactement ce que le designer du comic book cherchait.
Le couple sur la couverture n’est pas fictif. C’est Edek Galinski and Mala Zimetbaum qui étaient de vraies jeunes gens à Auschwitz. Et ils sont tombés amoureux dans ce malheureusement célèbre camp.
Ils se sont échappés mais se sont faits capturer six semaines après. Edek s’est pendu, et Mala qui a tenté de se suicider en se tailladant les poignets, a été emmenée au crématorium.
« Nous voulions que l’histoire se passe dans le camp pour redonner vie aux protagonistes, après avoir rencontrés d’anciens détenus qui les connaissaient.
Le témoin Jozef Paczynski a aidé à la création du comic-book, car étant resté 5 ans dans le camp et ayant connu Edek et Mala.
« Les nazis essayaient de faire en sorte qu’il n’y ait aucun contact entre homme et femme. Mais c’était impossible à réaliser. Vous savez ce que c’est : un home une femme, une marche, un sourire, c’était impossible d’arrêter ça. » raconte Jozef
Beata Klos, l’éditeur du comic book avait enregistré plusieurs histoires de prisonniers et les avait sélectionnées pour la publication.
L’auteur de dessins et l’écrivain ont pris bcp de photos pour que ça soit le plus ressemblant possible.
Une école slovaque a dit à l’écrivain que leur monographie les avait aidé à un peu mieux comprendre les horreurs nazis.
Une écolière, Lea dit « C’est plus facile à percevoir ce qui s’est passé avec des images qu’avec uniquement des mots. Avec les illustrations, on peut voir les conditions dans lesquelles étaient traités les juifs ».
Le livre ne peut pas retransmettre correctement la souffrance qui régnait derrière les barbelés, mais les dessins peuvent être facilement interprétés par les jeunes et leur donner un aperçu de l’horreur et espérons-le une envie de ne jamais oublier ce qui s’est passé à Auschwitz.

La dernière vidéo est intéressante. La BD reste un excellent support de sensibilisation..

Va falloir arreter avec les juifs et les nazis un jour, ya un moment c'est plus ni de la sensibilisation ni un travail de mémoire, c'est juste du voyeurisme, et j'trouve ça pourrie .

1. et quand il veut faire ses besoins, il ne prend pas la peine de descendre et les le lui fait sur son dos

2. c'est plutôt lui qui est trop parti vers la droite

3. je ne sais même pas exactement ce qu'est cette daube :roll:

4. comme si les plus jeune allaient être ému par ça, pour eux c'est déjà tellement vieux déjà comme histoire que voilà ...

Citation :

Alors toi, tu aimes ça :



, passé sur le forum où tu traites ceux qui n'aiment pas d'idiots qui ne savent pas apprécier la culture,
et tu nous lâche un commentaire digne d'un commodore 64 à l'agonie.

Du voyeurisme... J'vous jure.

Arrêtez un peu tous ces trucs pénibles sur des gens tous maigres et foutez nous du Disney, bordel.