Orange Déicide

Je viens vous présenter un site sur lequel je suis tombé et dont j'adore le principe. Si vous avez aimé les Livres dont vous êtes le héros, ce jeu est un peu basé sur la même idée. On a un scénario de base à partir duquel vous devez accomplir une action, et une seule, en écrivant un verbe.

Chaque verbe (enfin la plupart de ceux qui nous viennent à l'esprit) mènent à une conclusion bien particulière. Vous pouvez tester plusieurs choix afin d'obtenir la fin qui vous conviendrait.

Bref, je vous laisse juger par vous-mêmes, certains dénouements sont assez marrants, je vous laisse tester.

http://orange-deicide.blogspot.com

D'après ce que j'ai compris, il y a une "bonne" fin à trouver ! Et c'est grâce aux verbes précédemment testés qu'on parvient à accumuler les indices pour nous mettre sur la bonne voie. Lire attentivement, donc, personnellement je cherche encore.

Ca rappelle un peu l'ours et le chasseur pour la pub Tipp-Ex

Dans votre esprit défilent les choix possibles. Pour vous, il n'y a qu'une seule chose à faire : péter.

Vous dressez l'oreille. L'infirmière semble être suffisamment loin désormais. Votre frère vous fixe, et cela vous met un peu mal à l'aise, mais vous repensez à toutes les fois où vous l'avez réveillé, vos fesses collées à son nez. Vous rigoliez bien, et cela vous rend nostalgique. Le côté solennel de l'environnement dans lequel vous êtes plongé aujourd'hui vous met mal à l'aise, et vous comptez bien détendre l'atmosphère en même temps que votre sphincter. Vous grimpez donc sur le lit de votre frère en ricanant, vous déboutonnez votre pantalon, vous accroupissez, et lâchez un pet infect. Votre frère en est mort de rire.

J'ai un faible pour Achever, Baver, et Manger Frère.

Il y a des réponses qui sont juste immonde (mais a prendre au second degrés).

Dans votre esprit défilent les choix possibles. Pour vous, il n'y a qu'une seule chose à faire : dessiner.
Quoi de plus ennuyeux qu’une chambre d’hôpital ? Une chambre d’hôpital où se trouve un moribond, probablement. Votre frère se contente de vous fixer et ne fait visiblement aucun effort pour articuler lorsqu’il s’adresse à vous. Il ne peut plus bouger, ses paupières se ferment. Pour détendre l’atmosphère, vous sortez un feutre de votre poche et dessinez de grandes lunettes rondes autour de ses yeux. Il ne réagit pas. Vous vous prenez au jeu et, taquin comme vous êtes, vous dessinez une maison sur sa joue, écrivez « caca » sur son cou et lui tracez pour finir un sexe masculin géant sur le torse. Mais il faut croire que le ridicule tue : votre frère meurt avant même que vous n’ayez fini.




Dans votre esprit défilent les choix possibles. Pour vous, il n'y a qu'une seule chose à faire : torturer.
Votre frère vous fixe de plus en plus intensément et vous n’aimez pas ça. Comme il est malade, vous essayez en premier lieu de cacher votre irritation et détournez le regard mais cela ne change rien. Il est là à vous toiser sans mot dire et vous avez le sentiment qu’il aimerait que vous éprouviez de la culpabilité, pourtant, tout est de sa faute. Alors, vous décidez d’agir car trop c’est trop :

« Quoi ? Qu’est-ce que tu veux ? Tu voudrais me faire dire que c’est ma faute, hein ? Et ça t’aimes, dis, t’aimes ? »
Vous êtes arrivé à sa hauteur et lui assénez de violentes pichenettes sur les joues.
« Non, hein, c’est pas agréable, ça. Eh bien tu vois, toi aussi tu me fais mal en me regardant comme ça. Tu vois ce que ça fait maintenant ! »
Il ne bronche pas et cela vous met dans tous vos états.
« Mais bordel, tu le fais exprès ! Tu veux souffrir c’est ça ? C’est ça que tu voudrais ? »
Vous lui mettez un doigt dans l'oeil et un autre dans le nez. Son sang froid vous agace au point que vous perdez tout sens moral et après lui avoir enfoncé les écouteurs de votre I-pod dans les oreilles, vous lui passez l’intégrale d’Abba. Ce que vous ne savez pas c’est que votre colère est sans écho, votre frère est mort pendant votre sieste et ses yeux vides ne vous voient plus.





Sinon essayez "rêver", ça donne de la suite dans les idées. Bon perso j'ai pas encore trouvé la "bonne" fin mais je sens que ça va venir !

c'est pas mal comme site, je n'ai pas encore trouver le bon verbe.

A votre réveil, vous réalisez que vous bandez comme un âne. La cause ? Vous l’ignorez. Vous ne vous souvenez d’aucun rêve érotique ni d’aucune pensées scabreuses. Le corps humain est décidément plein de surprises ! La situation vous excite et sans plus de cérémonie, vous plongez vos deux mains dans votre caleçon pour saisir fermement votre membre frétillant. Vous perdez le sens commun, noyé par vos désirs, perdu par votre libido toute-puissante.

Votre corps tremble, vous vous cachez derrière la porte pour prendre l’infirmière par surprise, vous formez en bavant une petite mare sur le sol. Mais l’infirmière n’arrive pas et vous ne pouvez plus attendre. Vous hurlez comme un forcené et bondissez sur le lit de votre frère. Vous le retournez vivement, sans cesser de hurler et lui enfoncez vivement votre verge en feu au plus profond de son intimité. La seule pression de votre gland sur son trou du cul meurtri a, fort heureusement, provoqué chez la victime une mort instantanée, si bien que lorsqu’enfin vous répandez votre immonde venin, votre frère a rejoint au ciel le cercle très fermé des martyrs.

est-ce que c'est ça la bonne fin ?


Afficher le spoil

J\'ai peut être trouvé, il ne faut pas qu\'il meurt ?
Mais je soupçonne le fait qu'il n'y ai qu'une seule fin malheureusement

la fin de "danser" est pas mal, elle sort du lot.

Dans votre esprit défilent les choix possibles. Pour vous, il n\'y a qu\'une seule chose à faire : pardonner.

Les battements de votre cœur s\'accélèrent en même temps que les bips. Vous savez pertinemment que vous manquez de temps. Que dire ? Que faire ? Dans votre esprit défilent tous les choix possible, et vous remarquez pour la première fois à quel point vous étiez libre. Vous ne l\'êtes plus, car le temps joue contre vous. Certes, vous avez faim, vous avez peur, vous voulez fuir, vous voulez pleurer, et l\'instant présent se scinde en un millier de possibilités qui se font écho dans votre esprit. Tous ces choix possibles, au fond, ne mènent qu\'à celui-ci. Tout ce que vous auriez pu dire ou faire aurait été vain à côté de ce qui vous démangeait depuis tant d\'années. Peut-être est-ce pour cela que vous êtes aujourd\'hui à son chevet : lui pardonner. Alors vous lui dites tout. Il ferme les yeux, mais vous savez que c\'est pour mieux vous écouter, et c\'est en paix que vous le voyez vous quitter.


Peut-être qu\'on peut considérer ça comme une bonne fin ...
Sinon, invoquer Satan est pas mal

comment on fait pour sauver le frère ? j'ai essayer baiser, s'enfuir et tout mais non, il crève.
EDIT : Dans votre esprit défilent les choix possibles. Pour vous, il n'y a qu'une seule chose à faire : sauver.
Toutes vos soirées passées devant la télévision, à regarder Urgences vous ont donné des réflexes étonnants. Les bras tendus sur le thorax nu de votre frère, vous comptez jusqu'à trois puis effectuez trente compressions suivies de deux insufflations d'air au bouche-à-bouche. Vous êtes si fier de bien avoir retenu tout seul, vous qui rêviez de mettre tout ça en pratique, vous ne pouvez pas vous empêcher de sourire à votre frère agonisant, qui vous regarde, les yeux ébahis, impuissant. Vous auriez en effet peut-être dû attendre que votre frère se soit évanoui ou que son cœur se soit arrêté. C'est le cas, désormais.
-> cela ne marche pas non plus

Déprimer

On ne peut pas le sauver.

Citation :
NOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOON !:-o

Citation :

J'ai ri :lol:

Que faites-vous ?
Dans votre esprit défilent les choix possibles. Pour vous, il n'y a qu'une seule chose à faire : branler.

Vous sentez que votre jean se resserre sur votre entrejambe, ce n'est pas parce que vous avez pris du poids pendant votre sommeil, non : il s'agit simplement d'une érection spontanée qui vient se coincer dans un pli de votre pantalon. C'est très désagréable, alors, comme tous les hommes qui ont un jour connu cette situation, vous vous recalez bien le pénis en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire. Mais, une fois la main plongée dans votre caleçon aux motifs chats, vos doigts étreignent affectueusement votre membre à peine turgescent. Tout comme l'ascenseur au bout du couloir, votre main effectue un mouvement de va-et-vient, de haut en bas, en vous arrêtant parfois à l'étage de votre choix. Sans vous en rendre compte, vous avez adopté le rythme de l'électrocardiogramme, qui s'accélère, et s'accélère, et s'accélère.. «Arrr.» Ce râle provient de votre frère. Vous l'aviez oublié pendant un instant, et c'était plaisant. Votre frère est mort, et vous vous en branlez.

xD

Je vous conseilles à tous castrer qui est très intriguant... moi je dis que la bonne fin aucun de nous la trouver si elle existe...

edit : pour manger le plateau repas c'est manger repas tout simplement ^^

Sure que c'est la vrai fin ? je l'ai fais aussi mais ca me semblait pas tellement une vraie fin pour moi la vraie fin nous apprendrais toute l'histoire .

Citation :
Elle existe, et elle est passé dans ce topic.

Dans votre esprit défilent les choix possibles. Pour vous, il n'y a qu'une seule chose à faire : pisser.

Vous vous êtes à peine levé de votre chaise que votre frère s’est déjà rendormi. Pourtant vous avez pris votre après-midi exprès pour le voir, il ne fera décidément jamais aucun effort ! Vous êtes excédé, d’autant plus que votre frère respire fortement. C’est agaçant. Vous en avez par-dessus la tête de ses caprices de grand malade, de ses perpétuels gémissements, de tous les services qu’il faut rendre sans rien espérer en retour. Vous songez que votre frère, faible ou pas, mérite une bonne correction ou du moins une leçon de savoir vivre.


Comme vous êtes d’humeur taquine, vous vous approchez du lit sans faire de bruit, de manière à ne pas réveiller le malade. Arrivé au niveau de sa tête, vous baissez votre braguette d’un geste vif et lui pissez méchamment dans l’oreille. Mais, trop concentré sur votre plaisanterie pour vous apercevoir de quelque chose, vous n’avez pas vu que votre frère venait de rendre l’âme et que vous auriez tout aussi bien fait de pisser dans un violon.