Vidéo : Ha ha ha fait le renard

Auteur: @Pierremole Posté le: 16/3/2016 23:30:34

NON IL N'EST PAS SON RENARD ! Il ne s'agit pas d'un objet mais d'un être vivant, ce pourquoi je suis rigoureusement contre l'emploi de la forme possessive à laquelle je préfère sans hésitation et de loin l'usage de la forme démonstrative et le fait d'anthropomorphiser ainsi ce renard me répugne, c'est du mimétisme, il ne rigole as du tout mais se claque sur son seul référent en terme d'interaction sociale. Deuxièmement, cette espèce est sauvage et ne devrait pas être domestiquée, d'ailleurs la priver ainsi de sa naturalité et de sa liberté est strictement interdit dans de nombreux pays dont la France. La captivité d'un animal sauvage entraîne son malêtre par l'isolation et l'absence de rapport sociaux naturels avec leur congénères (par exemple la reproduction, la chasse etc...). La captivité peut entraîner divers troubles pathologiques, parfois graves chez les individus qui y sont contraints car on les prive ainsi de leurs milieux où ils trouvent tout ce dont ils ont besoin mais aussi parce qu'ils sont dés lors exposés à de nouveaux facteurs, notamment une nourriture et un climat inadaptés, le manque d'espace et d'activités propres à leur espèce etc... Enfin, les animaux sauvages participent au fonctionnement d'écosystèmes, ils ont plusieurs rôles et contribuent à l'équilibre des réseaux trophiques auxquels ils sont inclus, nous ne devrions donc pas risquer de rompre ou modifier ces équilibres en domestiquant ces espèces, car même si le phénomène concernant les renards polaires est peut être encore marginal, il peut hélas très rapidement prendre de l'ampleur au point d'être incontrôlable comme c'est déjà le cas (entre mille autres hélas) des ratons laveurs au Japon et maintenant en Espagne relâchés plus ou moins accidentellement et exploitant, bouleversant puis détruisant des milieux naturels où ils n'étaient pas naturellement intégrés. Même accidentellement on fait de grosses conneries, par exemple il y a plusieurs siècles nous avons introduit par erreur, inconsciemment les rats sur plusieurs îles notamment en Océanie et aujourd'hui encore nous n'avons toujours pas réglé les problèmes aux multiples conséquences écologiques que cela a engendré, plusieurs espèces endémiques de ces îles sont à présent menacées d'extinction, les victoires se comptent sur les doigts d'une mains, restent exceptionnelles et très relatives, et aujourd'hui nous avons d'autres nouveaux problèmes très similaires avec par exemple, l'introduction des coccinelles d'Asie pour la lutte biologique contre les pucerons, lutte soit-disant écolo... Le cas des tortues de Floride entrant en concurrence avec la cistude d'Europe, des écrivisses de Louisiane, des Frelons asiatiques et des grenouilles-taureaux ne sont plus des nouveautés mais on ne parle presque pas de celui des vers plats qui est pourtant tout aussi préoccupant. Alors par respect de la vie sauvage, afin d'éviter de tels accidents, nous devons au moins renoncer à cette forme d'égoïsme qu'est la captivité et/ou la domestication, on ne prend pas soin d'un animal seulement en lui témoignant de l'affection, il faut aussi reconnaître sa naturalité, ses véritables besoins et surtout son droit d'être libre autrement notre comportement est égoïste et anthropocentriste.

NON IL N'EST PAS SON RENARD ! Il ne s'agit pas d'un objet mais d'un être vivant, ce pourquoi je suis rigoureusement contre l'emploi de la forme possessive à laquelle je préfère sans hésitation et de loin l'usage de la forme démonstrative et le fait d'anthropomorphiser ainsi ce renard me répugne, c'est du mimétisme, il ne rigole pas du tout mais se calque sur son seul référent en terme d'interaction sociale. Deuxièmement, cette espèce est sauvage et ne devrait pas être domestiquée, d'ailleurs la priver ainsi de sa naturalité et de sa liberté est strictement interdit dans de nombreux pays dont la France. La captivité d'un animal sauvage entraîne son malêtre par l'isolation et l'absence de rapport sociaux naturels avec leur congénères (par exemple la reproduction, la chasse etc...). La captivité peut entraîner divers troubles pathologiques, parfois graves chez les individus qui y sont contraints car on les prive ainsi de leurs milieux où ils trouvent tout ce dont ils ont besoin mais aussi parce qu'ils sont dés lors exposés à de nouveaux facteurs, notamment une nourriture et un climat inadaptés, le manque d'espace et d'activités propres à leur espèce etc... Enfin, les animaux sauvages participent au fonctionnement d'écosystèmes, ils ont plusieurs rôles et contribuent à l'équilibre des réseaux trophiques auxquels ils sont inclus, nous ne devrions donc pas risquer de rompre ou modifier ces équilibres en domestiquant ces espèces, car même si le phénomène concernant les renards polaires est peut être encore marginal, il peut hélas très rapidement prendre de l'ampleur au point d'être incontrôlable comme c'est déjà le cas (entre mille autres hélas) des ratons laveurs au Japon et maintenant en Espagne relâchés plus ou moins accidentellement et exploitant, bouleversant puis détruisant des milieux naturels où ils n'étaient pas naturellement intégrés. Même accidentellement on fait de grosses conneries, par exemple il y a plusieurs siècles nous avons introduit par erreur, inconsciemment les rats sur plusieurs îles notamment en Océanie et aujourd'hui encore nous n'avons toujours pas réglé les problèmes aux multiples conséquences écologiques que cela a engendré, plusieurs espèces endémiques de ces îles sont à présent menacées d'extinction, les victoires se comptent sur les doigts d'une mains, restent exceptionnelles et très relatives, et aujourd'hui nous avons d'autres nouveaux problèmes très similaires avec par exemple, l'introduction des coccinelles d'Asie pour la lutte biologique contre les pucerons, lutte soit-disant écolo... Le cas des tortues de Floride entrant en concurrence avec la cistude d'Europe, des écrivisses de Louisiane, des Frelons asiatiques et des grenouilles-taureaux ne sont plus des nouveautés mais on ne parle presque pas de celui des vers plats qui est pourtant tout aussi préoccupant. Alors par respect de la vie sauvage, afin d'éviter de tels accidents, nous devons au moins renoncer à cette forme d'égoïsme qu'est la captivité et/ou la domestication, on ne prend pas soin d'un animal seulement en lui témoignant de l'affection, il faut aussi reconnaître sa naturalité, ses véritables besoins et surtout son droit d'être libre autrement notre comportement est égoïste et anthropocentriste.

NON IL N'EST PAS SON RENARD ! Il ne s'agit pas d'un objet mais d'un être vivant, ce pourquoi je suis rigoureusement contre l'emploi de la forme possessive à laquelle je préfère sans hésitation et de loin l'usage de la forme démonstrative et le fait d'anthropomorphiser ainsi ce renard me répugne, c'est du mimétisme, il ne rigole pas du tout mais se calque sur son seul référent en terme d'interaction sociale. Deuxièmement, cette espèce est sauvage et ne devrait pas être domestiquée, d'ailleurs la priver ainsi de sa naturalité et de sa liberté est strictement interdit dans de nombreux pays dont la France. La captivité d'un animal sauvage entraîne son malêtre par l'isolation et l'absence de rapport sociaux naturels avec leur congénères (par exemple la reproduction, la chasse etc...). La captivité peut entraîner divers troubles pathologiques, parfois graves chez les individus qui y sont contraints car on les prive ainsi de leurs milieux où ils trouvent tout ce dont ils ont besoin mais aussi parce qu'ils sont dés lors exposés à de nouveaux facteurs, notamment une nourriture et un climat inadaptés, le manque d'espace et d'activités propres à leur espèce etc... Enfin, les animaux sauvages participent au fonctionnement d'écosystèmes, ils ont plusieurs rôles et contribuent à l'équilibre des réseaux trophiques auxquels ils sont inclus, nous ne devrions donc pas risquer de rompre ou modifier ces équilibres en domestiquant ces espèces, car même si le phénomène concernant les renards polaires est peut être encore marginal, il peut hélas très rapidement prendre de l'ampleur au point d'être incontrôlable comme c'est déjà le cas (entre mille autres hélas) des ratons laveurs au Japon et maintenant en Espagne relâchés plus ou moins accidentellement et exploitant, bouleversant puis détruisant des milieux naturels où ils n'étaient pas naturellement intégrés. Même accidentellement on fait de grosses conneries, par exemple il y a plusieurs siècles nous avons introduit par erreur, inconsciemment les rats sur plusieurs îles notamment en Océanie et aujourd'hui encore nous n'avons toujours pas réglé les problèmes aux multiples conséquences écologiques que cela a engendré, plusieurs espèces endémiques de ces îles sont à présent menacées d'extinction, les victoires se comptent sur les doigts d'une mains, restent exceptionnelles et très relatives, et aujourd'hui nous avons d'autres nouveaux problèmes très similaires avec par exemple, l'introduction des coccinelles d'Asie pour la lutte biologique contre les pucerons, lutte soit-disant écolo... Le cas des tortues de Floride entrant en concurrence avec la cistude d'Europe, des écrivisses de Louisiane, des Frelons asiatiques et des grenouilles-taureaux ne sont plus des nouveautés mais on ne parle presque pas de celui des vers plats qui est pourtant tout aussi préoccupant. Alors par respect de la vie sauvage, afin d'éviter de tels accidents, nous devons au moins renoncer à cette forme d'égoïsme qu'est la captivité et/ou la domestication, on ne prend pas soin d'un animal seulement en lui témoignant de l'affection, il faut aussi reconnaître sa naturalité, ses véritables besoins et surtout son droit d'être libre autrement notre comportement est égoïste et anthropocentriste.

TL;DR

Tu dit quoi toi quand t'es avec une fille ? C'est "une" copine ou c'est MA copine ? Alors comme ça tu considère les femmes comme des objets? Sale gosse ;)

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Deuxièmement, cette espèce est sauvage et ne devrait pas être domestiquée

La captivité d'un animal sauvage entraîne son malêtre par l'isolation et l'absence de rapport sociaux naturels avec leur congénères

le manque d'espace et d'activités propres à leur espèce etc

s. Même accidentellement on fait de grosses conneries, par exemple il y a plusieurs siècles nous avons introduit par erreur, inconsciemment les rats sur plusieurs îles notamment en Océanie

on ne prend pas soin d'un animal seulement en lui témoignant de l'affection, il faut aussi reconnaître sa naturalité