Aidons les poissons XD

stockoption a écrit:
Bon, faudrait peut-être définir la notion de conscience.


En gros en occident, c'est une notion socratique (le fameux ðaïmon) qui crée l'idée de la conscience de soi et de ses actes.
Via la lignée Aristote et consor cette notion est reprise en choeur par les catholiques qui en exploiteront sa conséquence directe: la culpabilité.
Bref, traditionnellement en occident, la conscience est exclusivement réservée à l'homme, choisi par le barbu légèrement membré pour dominer le monde et au passage payer à jamais l'erreur d'une petite conne lubrique.

A l'opposé, dans les sociétés animistes, tout est conscience. Même un caillou ou Jacques Seguela.


Alors à l'ère ou on mélange tout en allant à la messe quand quelqu'un meure avant d'aller faire du yoga en haut de la falaise en écoutant du Trio, tous les intermédiaires sont présents.


Quoiqu'il en soit, c'est un débat purement linguistique puisque cette fameuse conscience n'a jamais vraiment trouvé d'echo scientifique. Les quelques processus cérébraux vaguement identifiés qu'on pourrait qualifié de conscience (au sens chretien/occidental) ont été aussi observé chez les grands singes....
Ca sent le sapin au Vatican (pas vraiment un scoop)
(la source, c'est dans un Sciences et Vie assez récent précisément sur ce sujet, il dois trainer quelques part par là, dans un meuble..ou peut être aux toilettes..)

Je doute qu'on les trouves chez les fish-sticks puisque ca sous-entend un minimum de mémoire.

Qui plus est je ne vois pas en quoi avoir ou pas une conscience change quelques chose. Ils ont un système nerveux qui leur donne sans doute possible la douleur. Douleur qui est un système de survie on ne peut plus basique. C'est de ca qu'il s'agit non?

stockoption a écrit:
Je m'étonne qu'aucun partisan micro-cephales de PETA ne soit encore intervenu.

Klaus-Mann a écrit:
Citation :

stockoption a écrit:
Bon, faudrait peut-être définir la notion de conscience.


En gros en occident, c'est une notion socratique (le fameux ðaïmon) qui crée l'idée de la conscience de soi et de ses actes.
Via la lignée Aristote et consor cette notion est reprise en choeur par les catholiques qui en exploiteront sa conséquence directe: la culpabilité.
Bref, traditionnellement en occident, la conscience est exclusivement réservée à l'homme, choisi par le barbu légèrement membré pour dominer le monde et au passage payer à jamais l'erreur d'une petite conne lubrique.

A l'opposé, dans les sociétés animistes, tout est conscience. Même un caillou ou Jacques Seguela.


Alors à l'ère ou on mélange tout en allant à la messe quand quelqu'un meure avant d'aller faire du yoga en haut de la falaise en écoutant du Trio, tous les intermédiaires sont présents.


Quoiqu'il en soit, c'est un débat purement linguistique puisque cette fameuse conscience n'a jamais vraiment trouvé d'echo scientifique. Les quelques processus cérébraux vaguement identifiés qu'on pourrait qualifié de conscience (au sens chretien/occidental) ont été aussi observé chez les grands singes....
Ca sent le sapin au Vatican (pas vraiment un scoop)
(la source, c'est dans un Sciences et Vie assez récent précisément sur ce sujet, il dois trainer quelques part par là, dans un meuble..ou peut être aux toilettes..)

Je doute qu'on les trouves chez les fish-sticks puisque ca sous-entend un minimum de mémoire.

Qui plus est je ne vois pas en quoi avoir ou pas une conscience change quelques chose. Ils ont un système nerveux qui leur donne sans doute possible la douleur. Douleur qui est un système de survie on ne peut plus basique. C'est de ca qu'il s'agit non?

En forme ce dimanche! J'suis entièrement d'accord avec toi. Cela dit, pour la vidéo, ils réclament simplement qu'on tue le poisson avant de le vider, ce avec quoi nous sommes d'accord. Pourquoi ne pas le dire au travers d'un peu d'humour?

J'ajoute simplement qu'elle dégage un coté gore qui est cinématographiquement intéressant. J'dirais même qu'elle me plait, en dehors du message qu'elle véhicule. J'aurais voulu qu'on développe un peu ce pêcheur sans conscience, qui arrache les tripes de ses victimes, la clope au bec.