CopyComic montre un nouveau plagiat: Roland Magdane

Mais tu parlais des morts où ça ne gêne personne. D'où mon exemple avec Johnny, qui vaut aussi pour les blagues racontées aux copains (toi aussi tu tournes en rond!).

J'avais écrit: «Nous, c'est comme les enfants qui pompent à l'école. Nous ne sommes pas des pros. Tu as le droit de chanter du Johnny Hallyday sous ta douche, mais essaye de vendre un album de reprises, tu vas voir la Laetitia ce qu'elle va te dire!»

Alors remplace Johnny par Coluche, Picasso, Hergé, ou toi et moi, c'est pareil!
Mais pas Mozart ou Molière, les droits sont expirés. Tu peux faire de l'argent avec les blagues de Molière sans soucis, mais pas les miennes. Mais tu peux tout raconter/chanter/écrire en privé, ce n'est pourtant pas compliqué!
https://fr.wikipedia.org/wiki/Droit_d%27auteur

@-MaDJiK- c'est ce que je pensais, on a la même chose en tête, mais pas de la même manière, c'est ma spécialité d'en arrivé là, désolé.

Pour reprendre une dernière fois.
Puisque comme tu le dit, un "pro", "vend" des disques, c'est une question de thunes et pas de morale.
MAIS, si la chanson est reprise et que le "pro" n'en fait pas un centimes. Il n'acquiert que la notoriété, et là, oui c'est un problème moral.

Le soucis c'est que, même quand un "pro" fait du caritatif (donc normalement sans thunes)... il fait quand-même des thunes. Donc tout se pète la gueule et la thune revient au galop.

c'est peut-être moins cryptique comme ça.


Bref, j'ai encore fais perdre du temps inutile à quelqu'un -_-', j'en rate pas une. Tu as eu raison de continuer, je ne m'en serai pas rendu compte autrement. Désolé.
(mais j'ai mis que 2 messages à m'en rendre compte cette fois, ça progresse)

@thazhok Haha, t'es marrant!
Mais non, nous n'avons pas tout à fait la même chose en tête. Ce n'est pas une question d'argent ou d'objectif de notoriété, mais de public: privé ou public (même si gratuit ou caritatif).

En gros tu peux tout faire en privé, tu ne peux rien faire sans autorisation en public, même gratuitement, même si l'auteur est mort, même dans une autre langue...

C'est mal et c'est interdit. Alors c'est parfois plus moralement défendable mais quand même toujours mal pour moi, et pas forcément pour toi donc si j'ai bien compris, nous ne sommes pas tout à fait d'accord!

Citation :
Tu ne pouvais pas choisir un plus mauvais exemple en parlant des comedy club. Sérieux, lisez un peu, renseignez-vous avant de commenter sur un sujet.

Ce sont JUSTEMENT les comedy club qui sont visés derrière les têtes d'affiche. C'est précisément ce qu'expliquent les journalistes, ce qui est rapporté par exemple dans le reportage d'Envoyé Spécial: les jeunes artistes renoncent à se produire dans certains comedy club parce qu'ils savent qu'ils seront pompés. Comedy club qui sont tenus par des producteurs... mis en cause dans les affaires de plagiat.

En gros, quand tu débutes et que tu n'as pas d'une façon ou d'un autre tes entrées, soit tu acceptes l'asservissement à certains producteurs (qui vont se gaver sur toi naturellement), soit tu veux rester indépendant, tu es obligé de faire les circuits des petites salles pour te faire connaitre, et tu prends le risque de te faire dépouiller. Super milieu.

Citation :
Pour deux raisons simples: d'une, selon ses propres déclarations, il a assaini sa situation avec les tiers concernés (traduction: il a sans doute payé), de deux il a fait tourner à plein son réseau.

Tu es vraiment à la rue si tu penses que tous les comiques new-yorkais qui ont quelques mois dans les pattes et qui tournent dans des petites salles sont invités chez Stephen Colbert, Jimmy Fallon ou Conan.

Citation :
Sans dec, si tu n'as pas l'ombre d'un début de commencement de connaissance sur la question de la propriété intellectuelle et des droits d'auteur, ne ferais-tu pas mieux de t'abstenir d'engager une discussion dans le vide?

Citation :
Ce n'est pas vrai.

Il faudrait des pavés pour être précis, mais d'une manière générale, ce n'est pas vrai. Dans beaucoup de situations, tu n'as besoin d'aucune autorisation, mais tu es par contre tenu aux paiement des droits prévus par la loi.

Un exemple: si un chanteur A veut faire une reprise de la chanson d'un chanteur B (sur scène, en public, moyennant rémunération) il est libre de le faire. Mais il devra naturellement s'acquitter des droits d'auteur, sacem et compagnie.

Citation :

Disons dans une situation particulière, celle que tu cites: les chansons inscrites à la SACEM en France qui est un fond commun chargé de rémunérer les auteurs (mais pas de les protéger). Et l'auteur peut toujours s'opposer à l'exploitation commerciale de sa reprise.
D'ailleurs on n'est pas obligé de déposer ses compositions à la SACEM.

Citation :
Non, pas dans UNE situation particulière. Dans de très très nombreuses situations (pratiquement le cas général). La musique et la Sacem n'étaient qu'un exemple.

Citation :
Non. Ne pas confondre exploitation de son interprétation et exploitation de sa chanson.

Citation :
On n'est pas obligé de les déposer tout court. Ce qui ne signifie pas qu'on renonce à tout droit pour autant.