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ImploWam
L'Histoire Collective II
 0  #1
Je suis accro
Inscrit: 04/08/2005 20:52
Post(s): 514
Tadaaaaaam, accrochez-vous bien...

(roulements de tambours)

Après une longue absence de, euh, pas loin de 7h30, revoilà le plus beau topic du monde (enfin ça n'engage que moi)

L'histoire Collective II

Le retour (enfin, la suite)

Après un bref (bref) séjour à Sucette-Land...

Une histoire commencée par:

(par ordre alphabétique, pour ne froisser personne)

Angebleu – bigmoose – DoctorNed - Etanne (mais trop tard, il l'a loupé) - GrosBill (malgré lui) – jeremyone – ImploWam - Mad_Donkey – nicou - pingulova

Merci à:
Razalgoul , pour ses encouragements 🙂
viper82, pour sa vision expéditive des choses 😃

On va bien voir comment va évoluer ce post 🙂

Contribution le : 16/08/2005 15:58
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C'était le bon temps, c'était bien mieux avant...

- Pour les gamins c'était, je l'imagine, un paradis, une grande aire de jeu...
- En poussant les wagonnets dans les mines, t'imagines pas comme ils étaient joyeux...
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ImploWam
 0  #2
Je suis accro
Inscrit: 04/08/2005 20:52
Post(s): 514
(Petit réfraichissement de mémoire)

[ediiiiiit] Pour ceux qui ont peur de tout lire, rassurez-vous, ça peut se lire en diagonale 😃
En fait, lire les 10 ou 20 dernières lignes suffit largement [/ediiiiiit]


Tout avait commencé à côté de cette horrible sculpture qui trône au beau milieu de la place de Riem. Jean-Jean, comme tous les autres, regardait ce cube coloré qui traversait lentement l'endroit en flottant à une vingtaine de centimètres du sol.

Comme à son habitude, Jean-Jean ne pu s'empêcher de se faire remarquer dans la foule silencieuse qui regardait le spectacle étrange, presque religieusement. Ainsi, après une longue et bruyante gorgée de Heineken, il lâcha un énorme rôt accompagné d'une forte expiration fétide... il faut dire que le kebab chargé de rondelles d'oignon qu'il venait d'ingurgiter n'aidait pas la situation!

Visiblement sous l'emprise de l'alcool, il fini par lâcher un: "C'est quoi cette saloper..."
Sa phrase fut interrompue par un autre rôt, plus discret celui-là, celui d'un modo, qui après avoir bu une bonne petite mousse avait décidé de locker ce topic.

- Bon bah il n'y aura pas d'autres avertissements, à la première dérive que je croise, je ferme. Et pas la peine de râler si ça lock, dit ce personnage.

Mais après un court moment, il se ravisa, se demandant jusqu'ou pouvait aller un topic comme celui-là! Il bu une autre gorgée de bière pensivement! Il fini d'ailleurs par se perdre dans ses pensées. A tel point, qu'il ne voyait même plus Jean-Jean dans la foule... Cela valait peut-être mieux ainsi! Voilà pour lui.

Jean-Jean s'était mis en tête de réaliser un rêve d'enfant… A quelques mètres de lui, se trouvait, parmi les badauds concentrés sur le cube, une mascotte de Walibi! Il avait toujours détesté cette mascotte au plus haut point depuis sa tendre enfance! Jean-Jean devait agir... Grisé par les quinze Heineken qu'il venait d'avaler, il entreprit de se saisir de la mascotte tant haïe. Il ne savait pas encore ce qu'il pourrait en faire, mais il trouverait bien assez tôt une torture apte à soulager le traumatisme de son enfance. Il se fraya donc un chemin parmi la foule, mais une fois arrivé à un mètre du cube il s'arrêta net. Il ne pouvait tout simplement pas croire ce qu'il voyait. Une lumière intense venait de jaillir du cube, comme un laser, mais beaucoup plus éblouissant!

Jean-Jean se protégea les yeux du revers de la main et laissa tomber sa cannette de Heineken de l'autre. Celle-ci, roula sur elle même en se vidant sur le trottoir... Il n'avait jamais vu une chose pareille, pourtant, la seule chose qui sorti de sa bouche à ce moment là, vu un autre rôt tonitruant et libérateur! Il fixa le rayon un instant. Celui-ci s'était immobilisé sur le visage d'une jeune fillette autour de laquelle la foule avait fait un demi-cercle. Elle était comme hypnotisée par la lueur! Jean-Jean balaya la foule du regard pour retrouver la mascotte.

C'est en se retournant qu'il la vit... Grande, rousse, grande queue derrière... Tout collait à part ce regard obscur et malsain... Certes, il n'avait jamais aimé cette mascotte, mais là il commençait à avoir peur. Quand leurs yeux se sont croisés, Jean-Jean a dessaoulé d'un coup et s'est mis à reculer en direction du cube. La mascotte le regardait de ses yeux vides, sans vie, noirs comme la mort. Elle ne bougeait pas comme on en avait l'habitude, elle est immobile, là, devant lui!
Jean-Jean reculait, du mieux qu'il le pouvait, poussant les gens autours, sans ménagement! Son pied droit glissa sur une bouteille par terre, il s'effondra en arrière, retenu par la barrière humaine que formaient les dos des gens, agglutinés les uns au autres pour regarder ce maudit cube! Jean-Jean saisit alors la bouteille de sa main droite et la brisa sur le béton, la transformant ainsi en une arme improvisée. Mais quelque chose se passa. Il sentait une force qui voulait lui arracher le tesson de bouteille de la main. Il tenta de résister mais sa main s'ouvrit soudainement, comme s'il n'en avait plus le contrôle, laissant tomber son arme. Il s'abaisse pour le ramasser, mais sa main ne réagit plus, comme si elle était endormie. Quand il se releva, il constata avec stupeur que la foule avait disparu, à l'exception de la fillette, de la mascotte et du cube, qui n'avait pas bougé d'un centimètre.

Un sifflement aigu, qui sembla venir du cube, se mit alors à monter crescendo, jusqu'à devenir insupportable. Jean-Jean voulait se protéger les oreilles, mais ses mains étaient devenues inutilisables, inertes, comme si elles n'avaient jamais bougé.

Jean-Jean hallucinait, il le savait, tout cela n'était pas possible, complètement irrationnel, même lui, grand amateur de boissons et autres substances psychotropes, le savait! Il en était même persuadé!

Il cria alors: " Que veux-tu de moi?"

Ce que je veux de toi ? Mais que tu viennes avec moi la...dans mon cube, un long voyage nous attend, alors es-tu partant ?

Il regarde autour de lui et plus personne, même pas la mascotte. Il ne restait que lui et ce cube. Il le regarde et demande : "Mais, en voyage où?"

Sur la Lune pardi, où veux-tu que je t'emmène. Chez moi, tu vas me servir de cobaye pour mes expériences sur les terriens...

Jean-Jean arriva à se frotter les yeux péniblement de ses deux mains tremblantes. Etaient-ce l'effroi ou son état lamentable d'ébriété qui les faisaient trembler? Aller sur la lune pour servir de cobaye? Son esprit était confus,peut-être les litres de Heineken ingurgités lui jouaient-ils des tours?

Une nausée commençait à lui monter doucement... Il tomba genoux à terre et s'appuya sur ses mains, la paralysie avait disparu, comme tout le reste...

Ou presque…

Le cube était toujours là, mieux, il se trouvait face à lui, flottant doucement, gracieusement devant ses yeux rougis et blafards. Quelle heure pouvait-il bien être, il ne le savait pas, ça lui importait peu finalement, sa fin, en tant qu'être humain lui semblait à présent si proche.
Son pouls s'accélérant, il porta la main droite à son coeur, comme pour essayer de le calmer, mais rien n'y fit! Ses paupières se fermèrent, enfin. Il s'écroula lourdement sur le bitume et s'évanoui.

Il fait sombre.

Il fait franchement noir en fait.

Jean-Jean ouvre les yeux et ne voit qu'une grande lumière blanche au dessus de lui. Il pense bien être allongé. Il ne distingue rien autour de lui. Il cherche, il a peur... Puis il entends une voix qui lui dit: "Monsieur Pelat, bon retour parmi les vivants... Vous n'êtes pas passé loin, quelques secondes de plus et vous vous seriez noyé dans votre, euh, vomi. Vous avez reçu un coup sur la tête, ne bougez pas trop. Ah oui, j'oubliais, je suis le docteur Guisztf et je vais m'occuper de votre cas. Surtout, détendez-vous et n'ayez pas peur."

Bizarrement, cela ne l'avait pas rassuré, mais alors pas du tout. Tout avait l'air normal mais un détail ne lui revenait pas, un seul petit détail louche qui dénotait dans son environnement.

Ce détail ne lui vient pas et cela l'énerve! Il ressenti une douleur à la tête. Alors il voulu se frotter. Mais en amenant sa main droite à sa tête il se rendit compte qu'il n'en avait plus! Il amena son avant-bras gauche devant ses yeux et se rendit compte qu'il n'avait plus de main gauche non plus. Il connaissait parfaitement l'histoire de l'homme invisible, il l'avait lu de nombreuses fois, beaucoup plus que ses livres d'école, d'ailleurs! Mais là, ce n'était plus dans des comics que les choses se passaient, mais sous ses yeux!

Il cria "Mais qu'est-ce que vous m'avez fait?" , et martela le matelas de son poing gauche, invisible. C'était stupéfiant!

La voix revint:

- L'inhabituel peut surprendre Monsieur Pelat! Parfois même choquer!
- J'en ai rien à foutre de vos conneries, tout ce que je peux voir c'est que j'ai une putain de gueule de bois et que je ne la vois même plus, ma gueule! dit-il en se saisissant d'un miroir qu'il porta devant son visage disparu. Alors, répondez-moi maintenant! Qu'est-ce que vous m'avez fait?
- Etes-vous vraiment dans une situation vous permettant de poser les questions Monsieur Pelat? Je ne pense pas. Alors, c'est vous qui allez m'écouter maintenant.

A ce moment précis, un autre lumière s'alluma, en face du lit de Jean-Jean, derrière une vitre, il vit qu'il n'était vraiment pas seul.

Quoi que très surpris il n’arrive pas à croire tout ce qui lui arrive, il va dans la cuisine et se badigeonne le visage reviens dans la chambre et regarde dans le miroir.

Oui c’était bien lui.

Un visage tout blanc s’offre à lui, et en plus il se reconnaît! Mais là, de l’autre côté, derrière la vitre, quelqu’un… Oui quelqu’un était là.

Il était devenu invisible, personne ne pouvait le voir, alors il se mit à réfléchir… Et là d’un coup une idée lumineuse! Si personne ne le voyait, il pouvait faire tout ce qu’il voulait. Mais il y avait ce cube là, devant lui. Cette lumière qui l’aveuglait et en plus on voulait l’emmener sur la Lune, il décida alors que les choses allaient changer.

Il regarde le cube et dit: "Maintenant c’est moi qui mène le jeu, tu vas déguerpir vite fait, je n’ai pas envie de devenir un cobaye sur la LUNE alors ouste fout le camp!"

Et là, surprise! Le cube s’ouvre et une créature de rêve sort

- Waouh, je rêve, pas possible… Qui es-tu?
- Moi je suis Vénus pourquoi me demandes-tu cela?
- Je ne sais pas, juste comme ça, vous êtes si belle.
- Normal je suis l’amour. Regarde derrière la vitre l’amour de ta vie est là, elle seule peut te rendre à nouveau visible.
- Mais comment?
- C’est simple si tu arrives à l’aimer d’un amour pur et passionné et que cet amour devient réciproque, tout redeviendra comme avant.

Il ne croit pas ses oreilles et regarde derrière la vitre, et il fut surpris. "Oh l’..."

Il ne put plus dire un mot, sa voix l'abandonnait. Ce qu'il voyait à cet instant, il ne pouvait y croire. Alexandra, sa voisine de palier. Il l'avait déjà vue, mais sans trop y faire attention. Il la voyait là, en face de lui, comme si elle était là. Mais il savait bien qu'elle ne pouvait pas y être. Il comprit alors qu'il la voyait chez elle, dans sa cuisine. Il voulut se retourner pour en savoir plus mais il n'y avait plus rien autour de lui. Tout avait disparu, il se trouvait dans un vide blanc. Seul, au milieu de rien, invisible. La paix totale.

Mais cet état fut vite troublé par un bruit infernal, une corne de brume, le vide commençant à se remplir, des voix faisant leurs apparitions. Enormément de voix. Son corps qui réapparaît. Son ventre qui se remet à gargouiller. Des pavés sous lui, il trébuche, se retrouve étalé sur le sol. Et la foule qui le regarde de tout côtés. Et cet homme, déguisé en kangourou, son masque à côté de lui qui se penche et lui demande: "Ça va, monsieur? Vous avez trébuché en reculant. Vous n'avez rien de cassé?"

Jean-Jean, tout perdu, se releva en lui répondant que tout allait bien et s'enfuit en courant vers son appartement.

Arrivé sur son palier, il regarda la porte d'Alexandra, hésita, puis entra chez lui.
C'est là qu'il vit cet individu assis dans son fauteuil, caché derrière ses lunettes noires.

- Mais c’est qui celui-là? Je ne le connais même pas et il se permet de rentrer chez moi! Bonjour, Monsieur, je pourrais savoir ce que vous faites chez moi… Et qui êtes-vous?
- Pour commencer, je me présente, suis votre conscience.
- Ma conscience, comment ça ?
- Voilà, je vais vous expliquer, je suis là pour vous ramener sur le droit chemin, vous êtes dans le couloir entre la vie et la mort, celui qui vous emmène vers d’autres horizons, vous n’avez pas toujours été correcte dans votre vie, mais nous avons tout de même décidé de vous donner une dernière chance.
- Mais, mais, euh, je ne comprends pas. Si vous êtes là alors je suis mort?
- Non vous n’êtes pas encore mort, mais vous n’êtes pas non plus complètement vivant, je veux dire par là que vous êtes dans le coma.
- Je suis dans le coma, et comment se fait-il que je vous vois et que je vous parle?
- Si vous étiez vivant, vous ne pourriez pas me voir ni m’entendre, mais pour que vous puissiez retourner dans le monde réel, il va falloir répondre à trois questions, et tout dépend des réponses que vous me donnerez.
- Allez-y je suis prêt posez vos trois questions.
- On y va.

Pendant ce temps là, à Vera Cruz, Laurent regardait à peine monsieur Poumette. Ce dernier n'avait pas l'air très content...

Laurent commençait à suer quand Poumette déposa religieusement le manuscrit sur son bureau. Il le regarda fixement, mais Laurent n'osa pas lever les yeux vers lui.

Soudain, le silence pesant fut rompu par un "Mais c'est de la merde votre histoire...!" sec et méchant...

Et il continua:

- Ça ne rime à rien votre truc, votre personnage principal, ce 'Jean-Jean', ne me plait pas du tout. En plus, il a un nom stupide, ce n'est pas accrocheur.
- Mais, monsieur Poumette, je...
- Ne m'interrompez pas, Vous m'aviez habitué à mieux, à beaucoup mieux... Resaisissez-vous, mon cher ami. Prenez des vacances, ça ira mieux après. Revenez me voir quand vous aurez quelque chose de vendeur! J'ai passé l'âge des contes de fée.

Laurent s'exécuta et prit la porte.

Monsieur Poumette, dépité par tant de galegeades scénaristiques, se prit la tête dans les mains dans un air pensif en disant long sur son désir de quitter le show business, toute cette dictature bureaucratique oppressante.

Il décroche le téléphone: "Allo chérie? Fais ta valise, je t'emmène toi et les gosses à Walibi, on va bien se fendre la poire!"
- Mais, chéri, je te rappelle quand même que DisneyWorld est beaucoup plus proche que ce Wallaby dont je n'ai jamais entendu parler. Et puis, d'abord, c'est où?
- C'est Walibi pas Wallaby, pfff, t'es vraiment bête toi! Passes moi ta mère qu'on en discute. Et arrête de répondre au téléphone a sa place, dit-il en criant, tu m'énerves!
- Oui papa, d'accord papa...
- Bon, je raccroche.
- Oui, c'est ça, raccroche...
- Comment?
- ...
- ...
tût tût tût tût

Et les voilà parti à Walibi, le trajet fut long et pénible et tout d’un coup, une idée lumineuse pour sa nouvelle histoire.

La famille Toutarrive par en vacances, pendant leurs voyages, une cascade de catastrophes les attends, comme d’habitude.

Dans la famille Toutarrive, il y a : Le père, la mère, le fils, la fille, la grand-mère et le chien, un pékinois intrépide et fouineur…

Il exposa sa brillante idée à sa femme qui tenta de le raisonner car ce n'était pas la première fois qu'il lui venait une telle inspiration, assez douteuse convenons-en. Mais rien n'y fit, il y tenait, à sa famille Toutarrive.

- Chéri, tu sais bien comment ça tourne à chaque fois, tes éclairs de génie.
- Jamais contente, toi.
- Mais non, ce n'est pas ça, mais…
- Mais quoi?
- Et bien, si j'étais toi et que tu étais un auteur, je te dirai que ce concept est usé jusqu'à l'os et que, de plus, ce nom de famille est tout à fait non-vendeur...
- Et bien trouve-moi une meilleure idée alors, on verra bien. Moi, je pense que ça va marcher, et ça marchera ou je ne m'appelle plus Poumette.
- Par moment, c'est moi qui aimerait ne plus m'appeler Poumette, marmona-t-elle entre ses dents.
- Comment? Qu'as-tu dit?
- Non, non, rien. Je parlait de football avec le petit.

Et Etienne Poumette bougonna jusqu'à l'aéroport.



(eeeeet c'est à vous!!!)

Contribution le : 16/08/2005 15:59
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Razalgoul
 0  #3
J'aime glander ici
Inscrit: 03/02/2005 16:55
Post(s): 5851
Citation :

ImploWam a écrit:

Merci à:
Razalgoul , pour ses encouragements 🙂

On va bien voir comment va évoluer ce post :)



Comme j'ai déjà dit dans le précedant topic...;-)

Ceci dit je n'ai rien contre ce genre de topic, mais à chaque fois le résultat a été le même, le sujet est parti en vrille à cause de certains perturbateurs... et GrosBill fait le ménage!

Contribution le : 16/08/2005 16:02
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Invité
 0  #4
FantômeInvité
j'ai la fleme de tout lire des les premiere ligne j'ai lacher l'affaire 😉

Contribution le : 16/08/2005 16:08
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Shibo
 0  #5
Je viens d'arriver
Inscrit: 11/08/2005 05:54
Post(s): 80
Wow, alors là je veux bien participer mais allez-y molo sur les réponses 🙂 Le but n'est pas de faire un roman en 3 tomes de 4 volumes chacun 🙂

Sinon c'est vrai que ça part vite en vrille et c'est bien dommage mais dés qu'une personne lance le shmilblik dans les acotés douteux le reste du troupeau suit en bon monton.

Un jeu marrant serait d'estimer a combien de temps le topic va survivre sans qu'il devienne scabreux ou qu'il verse dans le scatologisme. Perso, je mise sur 16 reply !! Qui dis mieux 🙂

Contribution le : 16/08/2005 16:11
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ImploWam
 0  #6
Je suis accro
Inscrit: 04/08/2005 20:52
Post(s): 514
Je dirai au moins 20, vu comme c'est re-parti...

Mais bon, tu pourrais apporter ta pierre à l'édifice et rédiger ton tome de l'histoire 🙂

Contribution le : 16/08/2005 16:14
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DoctorNed
 0  #7
Je m'installe
Inscrit: 13/02/2005 09:58
Post(s): 426
-Mais cheri, pas la peine de t'enerver comme ça! Ton histoire me semble completement nulle et sans interet... c'est pas la fin du monde?!
-Ok je te remercie pour ta critique constructive, je file aux toilettes, j'ai encore le temps?
-Oui, mais depèche toi, nous n'avons plus que 10 minutes pour l'enregistrement...

Etienne passa la porte des WC en s'engouffra dans l'une des cabines, tous les urinoirs étaient prit d'assaut!

Alors qu'il pissait, Etienne lisait avec amusement certains des graffitis inscris sur le mur, en face de lui. Cette distraction lui vallut d'ailleurs, un filet d'urine sur ses belles chaussures en croute de porc!

Maudisant sa malchance, Etienne entrprit de nettoyer sa chaussure avec du papier hygienique. Puis sortit, se lava les mains et partit rejoindre sa famille.

Arrivé sur place, il fallait bien s'en rendre compte, il n'y avait plus personne...

-Mais c'est pas possible, dans 5 min. le check-in va fermer et ils sont ou??!!

(next)

Contribution le : 16/08/2005 16:19
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DoctorNed
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Angebleu
 0  #8
Je m'installe
Inscrit: 09/08/2005 09:31
Post(s): 109
Citation :

DoctorNed a écrit:
-Mais cheri, pas la peine de t'enerver comme ça! Ton histoire me semble completement nulle et sans interet... c'est pas la fin du monde?!
-Ok je te remercie pour ta critique constructive, je file aux toilettes, j'ai encore le temps?
-Oui, mais depèche toi, nous n'avons plus que 10 minutes pour l'enregistrement...

Etienne passa la porte des WC en s'engouffra dans l'une des cabines, tous les urinoirs étaient prit d'assaut!

Alors qu'il pissait, Etienne lisait avec amusement certains des graffitis inscris sur le mur, en face de lui. Cette distraction lui vallut d'ailleurs, un filet d'urine sur ses belles chaussures en croute de porc!

Maudisant sa malchance, Etienne entrprit de nettoyer sa chaussure avec du papier hygienique. Puis sortit, se lava les mains et partit rejoindre sa famille.

Arrivé sur place, il fallait bien s'en rendre compte, il n'y avait plus personne...

-Mais c'est pas possible, dans 5 min. le check-in va fermer et ils sont ou??!!

(next)


Etienne regarde autour de lui… :roll: Rien… Sauf une petite lumière lointaine, il décide alors de s’y rendre pour savoir si toutefois ils seraient tous là-bas, tout en marchand, il a l’impression, que plus il avance plus lumière s’éloigne… Étrange se dit-il !!!


(Au suivant…:gratte:)

Contribution le : 16/08/2005 17:45
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Il y a ceux qui posent la question et ceux qui y répondent en la déplaçant.
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ImploWam
 0  #9
Je suis accro
Inscrit: 04/08/2005 20:52
Post(s): 514
Mais une voix famillière le stoppa net dans son mouvement:

- Chéri, cesse de te rendre intéressant et ouvres les yeux, on est là. Et si tu pouvais arrêter de penser tout haut, ça me ferait plaisir.

- Pas moyen de s'amuser ici. Bon, on va bientôt embarquer.

- Euh, tu as du papier hygiénique accroché à ta chaussure...

D'un coup sec du pied, il enleva ce peu glorieux souvenir des toilettes.

Et ils embarquèrent dans l'avion qui ne tarda pas à décoller.

Le vol se passa relativement bien, à part quand ce monsieur barbu s'est senti mal et a du filer aux toilettes après avoir usé 2 sacs en papier. Le plus drôle dans l'histoire avait été les têtes du pilote et du copilote qui ont été forcés de sortir des dites toilettes, relativement débraillés et couverts de sueur.

Bien que le vol ait été un long courrier, bizarrement tous les passagers ont applaudis à l'atterrissage et le pilote n'a pas récité le discours d'usage sur les conditions climatiques...

Etienne se dit à ce moment qu'il pourrait se servir de cette histoire et la refiler à un ami Français qui travaille dans la publicité.

Donc, les voici arrivés à Bruxelles mais l'aéroport semblait étrangement désert. Les valises tournaient sur les tapis roulants en attente d'être récupérées, mais personne n'était là...

Contribution le : 30/08/2005 15:39
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