sulfurique | 0 #161 |
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Je viens d'arriver
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la boulette du jour:
Alors ouais j'me la raconte ouais ouais je déconne nan nan c'est pas l'école qui m'a dictée mes codes on m'a dit qu't'aimais le rap voila de la boulette sortez les briquets fais trop tact dans nos tetes Alors ouais j'me la raconte ouais ouais je déconne nan nan c'est pas l'école qui m'a dictée mes codes on m'a dictée mais le rap voila de la boulette sortez les briquets sortez les briquets sortez les briquets Y a comme un gout de haine quand je marche dans ma ville y a comme un gout de gène quand je parle de ma vie y a comme un gout d'aigreur chez les jeunes de l'an 2000 y a comme un gout d'erreur quand j'vois le taux de suicide me demande pas s'qui les pousse à casser des vitrines j'suis pas la mairie j'suis qu'une artiste en devenir moi j'suis qu'une boulette me demande pas si j'ai le bac jai que le rap et je l'embarque que je l'embrase je le mate car je l'embrasse y a comme un gout d'attentat comme un gout de bertrand quantat comme un gout d'entrax pendant l'entracte y a comme un gout de foulette foulette chez les momes comme un gout de boulette boulette sur les ondes Alors ouais on déconne ouais ouais on étonne nan nan c'est pas l'école qui nous a dictée nos codes nan nan génération nan nan Alors ouais on déconne ouais ouais on étonne nan nan c'est pas l'école qui nous a dictée nos codes nan nan génération nan nan Y a comme un gout de viol quand je marche dans ma ville y a comme un gout d'alcool dans les locaux de police y a comme un gout de peur chez les meufs de l'an 2000 y a comme un gout de beuh dans l'oxygène que l'on respire me demande pas s'qui les pousse à te casser les couilles j'suis pas les secours j'suis qu'une petite qui se débrouille moi j'suis qu'une boulette me demande pas si j'aime la vie moi j'aime la rime et j'emmerde marine juste parce que ça fait zizir y a comme un gout de bad boy comme un gout d'al caponne comme un gout de hardcore hardcore dans les école y a comme un gout de foulette foulette chez les momes comme un gout de boulette boulette sur les ondes Alors ouais on déconne ouais ouais on étonne nan nan c'est pas l'école qui nous a dictée nos codes nan nan génération nan nan Alors ouais on déconne ouais ouais on étonne nan nan c'est pas l'école qui nous a dictée nos codes nan nan génération nan nan y a comme un gout de glisse dans la saisse et dans l'enfance y a comme un gout d'afrique dans les caisses de la france y a comme un gout de démé-démago dans la bouche de sarko comme un gout de mi-michto pres des mercos y a comme un gout de ouh ouh dans les chambres des jeunes y a comme un gout de boum boum dans le coeur de mes soeurs y a comme un gout de j'suis souler de tous se qui se déroule y a comme un gout de foulette de boulette qui saute dans le foule Alors ouais on déconne ouais ouais on étonne nan nan c'est pas l'école qui nous a dictée nos codes nan nan génération nan nan Alors ouais on déconne ouais ouais on étonne nan nan c'est pas l'école qui nous a dictée nos codes nan nan génération nan nan Alors ouais on déconne ouais ouais on étonne nan nan c'est pas l'école qui nous a dictée nos codes nan nan génération nan nan Alors ouais on déconne ouais ouais on étonne nan nan c'est pas l'école qui nous a dictée nos codes nan nan génération nan nan S D I A M D I D I A M S D I A M D I D I A M S D I A M D I D I A M S D I A M D I D I A M
Contribution le : 22/05/2006 19:16
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Quand le troll parle, l'homme avisé écoute... |
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Invité | 0 #162 |
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FantômeInvité
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Refrain
Tiens, voilà du boudin, voilà du boudin, voilà du boudin Pour les Alsaciens, les Suisses et les Lorrains, Pour les Belges y'en a plus (bis) Ce sont des tireurs au cul Pour les Belges y'en a plus (bis) Ce sont des tireurs au cul. I Nous sommes des dégourdis, nous sommes des lascars, Des types pas ordinaires, Nous avons souvent notre cafard, Nous sommes des Légionnaires. II Au Tonkin, la Légion immortelle A Tuyen-Quang illustra notre Drapeau. Héros de Camerone et frères modèles Dormez en paix dans vos tombeaux. III Nos anciens ont su mourir Pour la Gloire de la Légion, Nous saurons bien tous périr Suivant le tradition. IV Au cours de nos campagnes lointaines, Affrontant la fièvre et le feu, Nous oublions avec nos peines La mort qui nous oublie si peu Nous, la Légion. cest beau, cest classe, c'est elegant, cest du fraaancais ca moooosieur
Contribution le : 22/05/2006 21:07
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nanougua | 0 #163 |
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Je masterise !
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parce que d'actualité:le festival de connes M
elles sont toutes blondes elles sont toutes bonnes c'est toutes des bombes en silicone hallucinant,dans l'ciné y disent qu'j'suis mort ma dulcinée n'est pas d'accord c'est le premier rôle dans l'scénario elle,c'est l'idole,moi le salaud j'ferais pas d'mal à une moche mes airs de mâle c'est pour l'cinoche sous ma grande gueule c'est du bidon j'signe sur des feuilles pour pas un rond et pourtant j'roule des mécaniques c'est fou le nombre de filles à fric elles sont toutes bonnes dans c'festival c'est toutes des bombes du genre pas mal pas mal du tout... sauve qui peut ça vaut pas l'coup d'accord,j'me suis guindé pour pas un clou mais j'me dis ni vu ni connu c'est vrai qu'à Cannes c'est très cucu c'est vrai qu'à Cannes j'suis l'roi des cons ça c'est vrai,mais enfin,bon,c'est quand même bien...
Contribution le : 23/05/2006 11:16
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eider | 0 #164 |
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Il est des histoires que les mots ne parviennent pas à narrer.
Des histoires d’hommes dont la vie ne se laisse pas vraiment conter. L’homme aux doigts agiles caresse tranquille les boutons de nacre et nous montre qu’il peut bien nous parler de choses et d’êtres sans avoir à desserrer les lèvres. Raconte à grands coups de lames et de flûtes toute son histoire. Son histoire à lui, celle de celui qui partit un jour pour où? Finalement il s’en fout car il se fout des détails. La mémoire est un bijou, une pierre qui n’a pas besoin qu’on la taille… Parti de Pologne et des froids de l’est ou bien de Cologne pour venir à Brest, le grand-père avait la destinée de ceux pour qui voyage est inné. Pourtant lorsqu’il voudrait raconter les destinations de l’homme désigné, l’homme aux doigts agiles donne le ton mais ne donne pas de noms. Raconte à grands coups de lames et de flûtes toute son histoire. Son histoire à lui, celle de celui qui partit un jour pour où? Finalement il s’en fout car il se fout des détails. La mémoire est un bijou, une pierre qui n’a pas besoin qu’on la taille… Il aima des femmes, des bouts de charme et des âmes sans vertu, celles qui font dire qu’il est bon de vivre ou bien celles qui vous tuent. A quoi bon nous dire comment s’appelaient, douces d’un soir, amours éternelles. Majeurs et mineurs pourront bien suffire à faire une histoire belle Raconte à grands coups de lames et de flûtes toute son histoire. Son histoire à lui, celle de celui qui partit un jour pour où? Finalement il s’en fout car il se fout des détails. La mémoire est un bijou, une pierre qui n’a pas besoin qu’on la taille… Puis comme tout homme il partit le jour où son corps le quitta. On pleura sa fin comme on pleure la fin d’une histoire d’amour et de joie. L’homme aux doigts agiles continue toujours le récit du vieux, les larmes aux yeux, mais l’air de java d’un autre temps ne fait du trépas rien d’important. Raconte à grands coups de lames et de flûtes toute son histoire. Son histoire à lui, celle de celui qui partit un jour pour où? Finalement il s’en fout car il se fout des détails. La mémoire est un bijou, une pierre qui n’a pas besoin qu’on la taille… Finalement il s’en fout car il se fout des détails, la mémoire n’est là que pour nous dire qu’elle n’a pas envie que l’amour s’en aille. Edit : C'est peut-être mieux si je donne les coordonnées de la chanson C'était Alexis HK - Son histoire.
Contribution le : 25/05/2006 15:04
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nanougua | 0 #165 |
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Infinie solitude-Camille Bazbaz
puisqu'on a fait c'que l'on a pu puisqu'on n'a plus c'que l'on avait c'qu'on a vécu on l'a perdu dans notre infinie solitude ce qu'on était on n'sait même plus tout c'qu'on voulait chéri(e) t'en souviens-tu ce qu'on croyait on n'y croit plus dans notre infinie solitude mais on sait tous qu'on n'y peut rien et vivre toujours ou mourir demain moi ça m'fait rien du tout plus rien du tout on n'sait même plus c'qu'il faut se dire pour s'faire sourire et se guérir oh y a pas d'quoi rire dur de construire dans cette infinie solitude loin des yeux loin de mon coeur mais moins j'te vois plus j'pense à toi moi si j'avais su je s'rais resté dans mon infinie solitude mais on sait tous qu'on n'y peut rien vivre toujours ou mourir demain moi ça m'fait rien plus rien du tout
Contribution le : 25/05/2006 16:14
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Invité | 0 #166 |
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FantômeInvité
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suite a une conversation sur jabber, j'ai enfin retrouve une chanson de Marcel Amont
speciale dedicace a notre blonde quenotte "Bleu, blanc, blond - Marcel Amont" (Refrain:) "Bleu, bleu, le ciel de Provence" "Blanc, blanc, blanc, le goéland" Le bateau blanc qui danse "Blond, blond, le soleil de plomb" Et dans tes yeux Mon rêve en bleu - bleu - bleu Quand j'ai besoin de vacances Je m'embarque dans tes yeux "Bleus, bleus, comme un ciel immense" Et nous partons tous les deux. (Refrain) Quand le vent claque la toile De ton joli jupon blanc "Blanc, blanc comme une voile" Je navigue éperdument. (Refrain) Tes cheveux d'un blond de rêve Déferlent en flots légers "Blonds, blonds, blonds sur une grève" Où je voudrais naufrager (Refrain)
Contribution le : 25/05/2006 16:23
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jumbolina | 0 #167 |
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Contribution le : 25/05/2006 17:11
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Invité | 0 #168 |
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FantômeInvité
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oh merci Jumbibounet
Contribution le : 25/05/2006 17:24
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eider | 0 #169 |
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Sanseverino - L'ogre.
Je suis un ogre Et je mange les enfants Groaaaar ! Edit : Bon, c'était un peu abuser. On va mettre plutôt le Tango des embouteillages (je vous défie de faire un karaoké là-dessus !) On est un peu jaloux qu’ils arrivent avant nous Mais on les laisse passer, dans les embouteillages Quand les motards te font merci avec les pieds, merci avec les pieds Ce ne sont pas des êtres humains, mais une espèce de martien-terrien Ils ne connaissent pas la langue des mains Il faut les voir foncer libres comme l’air Heureux comme des goélands, ils ont l’air épanoui Un casque sur la tête et à leurs mains des gants Ils font tout sur leur moto mais la seule chose qu’ils ne pourront pas C’est dormir en roulant sinon le drap s’envolera Tu comprends Dans les embouteillages, tu penses autant au temps qu'au temps Où tu n’auras plus d’ongles et où tu te mangeras les dents Les Harley à crédit, les Japonaises débridées Passent entres les camions citernes et les 4L de pompiers Les filles sont en voiture Contrairement aux motards qui eux sont à moto Bien qu’il y ait des filles à moto Mais sous leurs cuirs, On ne les voient pas bien, on ne voit pas leurs seins Surtout que sous un casque, on peut pas deviner Si c’est un vieux hippy, un vieux skinhead ou une pure beauté Si par hasard, dans un embouteillage Tu croises la femme de ta vie Mais assis à côté d’elle, il y a déjà un petit mari barbu mais gentil Remballe ton sourire de veau, tourne la tête pour ne pas avoir l’air idiot Fait semblant de réparer ta radio, de redresser ton rétro Remballe ton sourire de veau, tourne la tête pour ne pas avoir l’air idiot Fait semblant de réparer ta radio, de redresser ton rétro Dans les embouteillages, tu penses autant au temps qu'au temps Où tu n’auras plus d’ongles et où tu te mangeras les dents Les Harley à crédit, les Japonaises débridées Passent entres les camions citernes et les 4L Dans les embouteillages, tu penses autant au temps qu'au temps Où tu n’auras plus d’ongles et où tu te mangeras les dents Les Harley à crédit, les Japonaises débridées Passent entres les camions citernes et les 4L de pompiers Virgule Quand les filles se maquillent dans les rétroviseurs Moi j’ai même pas peur qu’elles oublient de freiner Les routiers, du haut de leurs cabines Les traitent de femmes au volant Mais en secret, il aimeraient bien les emmener Amoureux des sirènes Les ambulanciers sont les marins des départementales Salauds de séducteurs Ils ont une infirmière dans chaque hôpital Ils collectionnent les filles, multiplient les aventures Et leur spécialité c’est l’amour en voiture Sais-tu qu’il y a des infirmiers qui soignent les blessés En leurs mettant des disques et des cassettes La musicothérapie au service de la fracture ouverte Pour un lumbago, Nougaro ou bien Django Une jambe cassée, AC/DC et c’est soigné Dans les embouteillages, tu penses autant au temps qu'au temps Où tu n’auras plus d’ongles et où tu te mangeras les dents Les Harley à crédit, les Japonaises débridées Passent entres les camions citernes et les 4L Dans les embouteillages, tu penses autant au temps qu'au temps Où tu n’auras plus d’ongles et où tu te mangeras les dents Les Harley à crédit, les Japonaises débridées Passent entres les camions citernes et les 4L de pompiers
Contribution le : 25/05/2006 20:13
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nanougua | 0 #170 |
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Je masterise !
Inscrit: 10/12/2005 20:33
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triton-Rita Mitsouko
je sortais au petit matin je marchais sur la plage quand les dunes, le vent dans les pins montraient plus d'un seul visage les étoiles au firmament prenaient leur temps je l'ai vu dans le lointain allongé,bercé de vagues alangui, comme un noyé,mais plein d'une vie formidable vers lui j'ai marché comme illuminée, j'allais paressant au bord de l'eau il rêvait les yeux ouverts de grands yeux verts,un menton triangulaire et une queue d'poisson,un triton de poséidon une question, oh permets-moi dis triton, quand je te vois qui me brûle de savoir comment vous fautez pour qu'y ait des enfants triton embrasse-moi connaissez-vous l'ivresse des profondeurs du bonheur d'amour une caresse me fit taire et il parla cette queue que tu touches là est un noeud comme tu n'en as pas un engin fort comme un dauphin la femelle,elle c'est son vagin nous faisons tourbillon quand sa nageoire caudale s'ouvre comme une fleur des mers la tempête hurle et bastonne les hommes en pleurent de bonheur dans un élan il fut déjà au loin et l'écume scintillait si joliment
Contribution le : 19/06/2006 18:26
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christeuff | 0 #171 |
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La loi c'est moi
Inscrit: 12/07/2004 18:42
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Jacques Brel
Jef Non Jef t'es pas tout seul Mais arrête de pleurer Comme ça devant tout le monde Parce qu'une demi-vieille Parce qu'une fausse blonde T'a relaissé tomber Non Jef t'es pas tout seul Mais tu sais que tu me fais honte A sangloter comme ça Bêtement devant tout le monde Parce qu'une trois quarts putain T'a claqué dans les mains Non Jef t'es pas tout seul Mais tu fais honte à voir Les gens se paient notre tête Foutons le camp de ce trottoir Allez viens Jef viens viens {Refrain:} Viens il me reste trois sous On va aller se les boire Chez la mère Françoise Viens il me reste trois sous Et si c'est pas assez Ben il me restera l'ardoise Puis on ira manger Des moules et puis des frites Des frites et puis des moules Et du vin de Moselle Et si t'es encore triste On ira voir les filles Chez la madame Andrée Parait qu'y en a de nouvelles On rechantera comme avant On sera bien tous les deux Comme quand on était jeunes Comme quand c'était le temps Que j'avais de l'argent Non Jef t'es pas tout seul Mais arrête tes grimaces Soulève tes cent kilos Fais bouger ta carcasse Je sais que t'as le cœur gros Mais il faut le soulever Non Jef t'es pas tout seul Mais arrête de sangloter Arrête de te répandre Arrête de répéter Que t'es bon à te foutre à l'eau Que t'es bon à te pendre Non Jef t'es pas tout seul Mais c'est plus un trottoir ça devient un cinéma Où les gens viennent te voir Allez viens Jef viens viens {Refrain} Viens il me reste ma guitare Je l'allumerai pour toi Et on sera espagnols Comme quand on était mômes Même que j'aimais pas ça T'imiteras le rossignol Puis on se trouvera un banc On parlera de l'Amérique Où c'est qu'on va aller Quand on aura du fric Et si t'es encore triste Ou rien que si t'en as l'air Je te raconterai comment Tu deviendras Rockfeller On sera bien tous les deux On rechantera comme avant Comme quand on était beaux Comme quand c'était le temps D'avant qu'on soit poivrots Allez viens Jef viens viens Oui oui Jef oui viens.
Contribution le : 20/06/2006 01:28
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Vince27 | 0 #172 |
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Je masterise !
Inscrit: 08/05/2005 11:40
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Ticket chic, Ticket choc par T'as le ticket
le mp3 Tic tac toc - T’as le ticket chic T’es sur que ça passe - Tu t’vois dans la glace -T’as vraiment la classe T’as le ticket star - T’as le ticket strass Ticket ticket star, ticket strass - Pas question de stress Tic tac toc - Ticket ticket toc - T’as le ticket choc - Ticket ticket choc Tu roules au radar - Attention départ - Direction hazard - Ticket ticket star T’as le ticket chic - Ticket ticket chic T’as le ticket choc - Ticket ticket choc Ticket ticket toc - Tic tac toc - Ticket ticket choc Ticket ticket choc - Tic tac toc - Ticket ticket toc Ticket ticket toc et ticket ticket toc et ticket ticket toc - T’as le ticket stop Ticket ticket toc et ticket ticket toc et ticket ticket toc - T’as le ticket stop Paris flaque - Et toi tu t’en moques Planqué dans ta rame - Pour toi y a pas de drame Place blanche - Balance tes hanches Dans la nuit noire - Tu marches en canard C’est toi la star - Du bal des oscars Star, star du soir - T’as de l’espoir Tic tac toc - T’as le ticket clic T’as le look mystique - Le regard oblique - Prêt pour le declic T’as le ticket clac - T’as le ticket star T’es la superstar - Quand tu sors le soir - Sur les grands boulevards Tic tac toc - Ticket ticket toc - T’as le ticket choc - Ticket ticket choc T’as le ticket top - T’as le ticket pop - Ticket ticket toc - Ticket ticket toc T’as le ticket chic - Ticket ticket chic - T’as le ticket choc - Ticket ticket choc Ticket ticket toc - Tic tac toc - Ticket ticket choc Ticket ticket choc - Tic tac toc - Ticket ticket toc Ticket ticket toc et ticket ticket toc et ticket ticket toc - T’as le ticket stop Ticket ticket toc et ticket ticket toc et ticket ticket toc - T’as le ticket stop Dans ta caboche - C’est le grand cinoche Ta vie comme un flash - Défile tout en strass Tres cool - Tu frimes tu swingues T’as le cœur platine - Moulé dans ton jean A toute berzingue - Tu les rends dingues Star star du soir - T’as de l’espoir Tic tac toc - T’as le ticket clic T’as le ticket clac - T’as le ticket cloc - Ticket ticket toc T’as le ticket chic - T’as le ticket choc Ticket ticket toc - Tic Tac toc - Ticket ticket choc Ticket ticket tic - Tic tac toc - Ticket ticket chic Ticket ticket toc - Tic tac toc - Ticket ticket strass Ticket ticket toc - Tic tac toc - Ticket ticket choc Ticket ticket toc et ticket ticket toc et ticket ticket toc - T’as le ticket stop
Contribution le : 21/06/2006 20:27
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Koreus: Car je l'aime bien ce vince27 au final. juneapple: Je t'aime Vince Kryss : si c est trop dur, j en mettrai une autre plus tard |
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nanougua | 0 #173 |
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Je masterise !
Inscrit: 10/12/2005 20:33
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L'amitié-Françoise Hardy
beaucoup de mes amis sont venus des nuages avec soleil et pluie comme simples bagages ils ont fait la saison des amitiés sincères la plus belle saison des quatre de la terre ils ont cette douceur des plus beaux paysages et la fidélité des oiseaux de passage dans leur coeur est gravée une infinie tendresse mais parfois dans leurs yeux se glisse la tristesse alors,ils viennent se chauffer chez moi et toi aussi tu viendras tu pourras repartir au fin fond des nuages et de nouveau sourire à bien d'autres visages donner autour de toi un peu de ta tendresse lorsqu'un autre voudra te cacher sa tristesse comme l'on ne sait pas ce que la vie nous donne il se peut qu'à mon tour je ne sois plus personne s'il me reste un ami qui vraiment me comprenne j'oublierai à la fois mes larmes et mes peines alors,peut-être je viendrai chez toi chauffer mon coeur à ton bois
Contribution le : 28/06/2006 19:02
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christeuff | 0 #174 |
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La loi c'est moi
Inscrit: 12/07/2004 18:42
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Georges Brassens - Chanson pour l'Auvergnat
Elle est à toi cette chanson Toi l'Auvergnat qui sans façon M'as donné quatre bouts de bois Quand dans ma vie il faisait froid Toi qui m'as donné du feu quand Les croquantes et les croquants Tous les gens bien intentionnés M'avaient fermé la porte au nez Ce n'était rien qu'un feu de bois Mais il m'avait chauffé le corps Et dans mon âme il brûle encore A la manièr' d'un feu de joie Toi l'Auvergnat quand tu mourras Quand le croqu'mort t'emportera Qu'il te conduise à travers ciel Au père éternel Elle est à toi cette chanson Toi l'hôtesse qui sans façon M'as donné quatre bouts de pain Quand dans ma vie il faisait faim Toi qui m'ouvris ta huche quand Les croquantes et les croquants Tous les gens bien intentionnés S'amusaient à me voir jeûner Ce n'était rien qu'un peu de pain Mais il m'avait chauffé le corps Et dans mon âme il brûle encore A la manièr' d'un grand festin Toi l'hôtesse quand tu mourras Quand le croqu'mort t'emportera Qu'il te conduise à travers ciel Au père éternel Elle est à toi cette chanson Toi l'étranger qui sans façon D'un air malheureux m'as souri Lorsque les gendarmes m'ont pris Toi qui n'as pas applaudi quand Les croquantes et les croquants Tous les gens bien intentionnés Riaient de me voir emmener Ce n'était rien qu'un peu de miel Mais il m'avait chauffé le corps Et dans mon âme il brûle encore A la manièr' d'un grand soleil Toi l'étranger quand tu mourras Quand le croqu'mort t'emportera Qu'il te conduise à travers ciel Au père éternel
Contribution le : 30/06/2006 06:48
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Invité | 0 #175 |
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FantômeInvité
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LE CLIP
France Gall Laisse tomber les filles Paroles et Musique: Serge Gainsbourg © 1964 - Editions Sidonie Laisse tomber les filles Laisse tomber les filles Un jour c'est toi qu'on laissera Laisse tomber les filles Laisse tomber les filles Un jour c'est toi qui pleureras Oui j'ai pleuré mais ce jour-là Non je ne pleurerai pas Non je ne pleurerai pas Je dirai c'est bien fait pour toi Je dirai ça t'apprendra Je dirai ça t'apprendra Laisse tomber les filles Laisse tomber les filles Ça te jouera un mauvais tour Laisse tomber les filles Laisse tomber les filles Tu le paieras un de ces jours On ne joue pas impunément Avec un cœur innocent Avec un cœur innocent Tu verras ce que je ressens Avant qu'il ne soit longtemps Avant qu'il ne soit longtemps La chance abandonne Celui qui ne sait Que laisser les cœurs blessés Tu n'auras personne Pour te consoler Tu ne l'auras pas volé Laisse tomber les filles Laisse tomber les filles Un jour c'est toi qu'on laissera Laisse tomber les filles Laisse tomber les filles Un jour c'est toi qui pleureras Non pour te plaindre il n'y aura Personne d'autre que toi Personne d'autre que toi Alors tu te rappelleras Tout ce que je te dis là Tout ce que je te dis là
Contribution le : 30/06/2006 08:04
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Choupin | 0 #176 |
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Je masterise !
Inscrit: 06/04/2005 23:35
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IAM - Revoir un printemps
Comme quoi la vie finalement nous a tous embarqués, J'en place une pour les bouts de choux, fraîchement débarqués A croire que jusqu'à présent, en hiver on vivait Vu qu'c'est le printemps, à chaque fois que leurs sourires apparaissent Je revois le mien en extase, premier jouet téléguidé Déguisé en cosmonaute, souhait presque réalisé, instant sacralisé Trésor de mon coeur jamais épuisé, pour mon âme apaisante, Alizée. Revoir le rayon d'lumière, transpercer les nuages, Après la pluie, la chaleur étouffante assécher la tuile Revoir encore une fois, l'croissant lunaire embraser la nuit Embrasser mes anges, quand l'soleil s'noie Faire du sommeil une terre vierge, converser dehors sous les Cierges, revoir son sourire au lever quand j'émerge, sur Au-delà des turpitudes, des dures habitudes de l'hiver Peut être mon enveloppe de môme, abrite un coeur d'Gulliver Revoir les trésors naturels de l'univers, douce ballerine L'hirondelle fonde son nid dans mes songes, sublime galerie A ciel ouvert, les djouns rampent à couvert, nous à l'air libre Mais les pierres horribles, cachent souvent des gemmes superbes Sous le couvercle Revoir la terre s'ouvrir, dévoiler la mer Solitaire dans la chambre, sous la lumière qu'les volets lacèrent Impatient de l'attendre, c'printemps en décembre, en laissant Ces mots dans les cendres, de ces années amères Comme quoi la vie finalement nous a tous embarqués, J'en place une pour les bouts de choux, fraîchement débarqués A croire que jusqu'à présent, en hiver on vivait Vu qu'c'est le printemps, à chaque fois que leurs sourires apparaissent Je revois le mien en extase, premier jouet téléguidé Déguisé en cosmonaute, souhait presque réalisé, instant sacralisé Trésor de mon coeur jamais épuisé, pour mon âme apaisante, Alizée. La patience est un arbre, dont la racine est amère et l'fruit doux J'aimerais revoir mes premiers pas, mes premiers rendez vous Quand j'pensais, qu'la vie, pouvait rien nous offrir, à part des sous Maintenant j'sais qu'ça s'résume pas à ça, et qu'c'est un tout, L'tout est d'savoir, voir, penser, avancer, foncer On sait qu'le temps, dans c'monde n'est pas notre allié J'aimerais revoir, l'instant unique, qu'a fait d'moi un père Un homme, un mari, on m'aurait dit ça avant, j'aurais pas t'nu l'pari Normal dans mon coeur, y avait la tempête, les pression et l'orage Et pas beaucoup d'monde qui pouvait supporter cette rage J'aimerais revoir, ces pages, où on apprenait la vie, sans dérapage L'partage d'l'évolution, à qui j'rends hommage, loin des typhons J'aimerais revoir, l'premier sourire, d'mon fiston, mon coeur D'puis c'jour là, j'me sens fier, c'beau gosse, c'est ma grandeur Un printemps éternel, une source intarissable, plein d'couleurs C'est l'jardin d'Eden, qui m'protège d'mes douleurs, Revoir l'époque où y avait qu'des pelés sur le goudron s'arrachant Autant de printemps répondant à l'appel d'un air innocent Moins pressé d'aller à l'école pour les cours que pour les potes S'y trouvant revoir les parties de bille sous le préau se faisant avec acharnement Tendre moment jalousement gardé comme tous Avènement d'une jeune pousse que l'on couvre d'amour….. Pour que rien ne salisse mille fleurs jaillissent Dès que son sourire m'éclabousse ça m'électrise cette Racine va devenir chêne massif sève de métisse Annonçant le renouveau le retour de mes printemps A travers les siens et construire les siens pour que un jour Il puisse les revivre à son tour Comme volant à mon secours ces graines fleurissent Dans ma tête quand la grisaille Persiste mur d'images refoulant mes tempêtes Voir un printemps superbe à nouveau fleurir Comme quoi la vie finalement nous a tous embarqués, J'en place une pour les bouts de choux, fraîchement débarqués A croire que jusqu'à présent, en hiver on vivait Vu qu'c'est le printemps, à chaque fois que leurs sourires apparaissent Je revois le mien en extase, premier jouet téléguidé Déguisé en cosmonaute, souhait presque réalisé, instant sacralisé Trésor de mon coeur jamais épuisé, pour mon âme apaisante, Alizée.
Contribution le : 03/07/2006 19:48
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Maevan | 0 #177 |
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Je masterise !
Inscrit: 08/03/2005 10:12
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L'Hymne à la joie
Joie discrète, humble et fidèle Qui murmure dans les eaux Dans le froissement des ailes Et les hymnes des oiseaux. Joie qui vibre dans les feuilles Dans les prés et les moissons Nos âmes blanches t'accueillent Par de naïves chansons. Tous les hommes de la terre Veulent se donner la main Vivre et s'entraider en frères Pour un plus beau lendemain, Plus de haine, plus de frontière, Plus de charniers sur nos chemins Nous voulons d'une âme fière Nous forger un grand destin Que les peuples se rassemblent Dans une éternelle foi Que les hommes se rassemblent Dans l'égalité des droits. Nous pourrons tous vivre ensemble La charité nous unira Que pas un de nous ne tremble La fraternité viendra. Joie immense, joie profonde, Ombre vivante de Dieu Abats-toi sur notre monde Comme un aigle vient des cieux. Enserre dans ton étreinte La tremblante humanité Que s'évapore la crainte Que naisse la liberté Joie énorme, joie terrible Du sacrifice total Toi qui domptes l'impossible, Et maîtrises le fatal ; Joie sauvage, âpre et farouche, Cavalière de la mort, Nous soufflons à pleine bouche Dans l'ivoire de ton cor. Joie qui monte et déborde, Tu veux nos cœurs ? les voilà. Et nos âmes sont les cordes, Où ton archet passera Que ton rythme nous emporte Aux splendeurs de l'Eternel Comme un vol de feuilles mortes, Que l'orage entraîne au ciel.
Contribution le : 03/07/2006 20:19
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Le presbytère n'a rien perdu de son charme, ni le jardin de son éclat... |
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ImploWam | 0 #178 |
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Je suis accro
Inscrit: 04/08/2005 20:52
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La fille du coupeur de joints (Hubert-Félix Thiéfaine)
Elle descendait de la montagne Sur un chariot chargé de paille Sur un chariot chargé de foin La fille du coupeur de joints La fille du coupeur de joints Elle descendait de la montagne En chantant une chanson paillarde Une chanson de collégien La fille du coupeur de joints La fille du coupeur de joints Mais nous on était cinq chômeurs A s'lamenter sur not'malheur En se disant qu'on s'taperaient bien La fille du coupeur de joints La fille du coupeur de joints Elle descendait de la montagne V'là qu'on nous voit vers les murailles Et qu'elle nous fait : coucou les gens ! La fille du coupeur de joints La fille du coupeur de joints Ben, v'là qu'elle nous prend par la taille Pis qu'elle nous emmène sur sa paille Elle nous fait le coup du zeppelin La fille du coupeur de joints La fille du coupeur de joints Ben nous on était cinq chômeurs A s'payer une tranche de bonheur Un'tranche de Tagada tsoin-tsoin La fille du coupeur de joints La fille du coupeur de joints Quand on eut passé la ferraille Elle nous fit fumer de sa paille Sacré bon dieu que c'était bien La fille du coupeur de joints La fille du coupeur de joints Plus question de chercher du travail On pédalait dans les nuages Au milieu des petits lapins La fille du coupeur de joints La fille du coupeur de joints Elle descendait de la montagne En chantant une chanson paillarde Une chanson de collégien La fille du coupeur de joints La fille du coupeur de joints
Contribution le : 06/07/2006 01:55
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C'était le bon temps, c'était bien mieux avant... - Pour les gamins c'était, je l'imagine, un paradis, une grande aire de jeu... - En poussant les wagonnets dans les mines, t'imagines pas comme ils étaient joyeux... |
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ImploWam | 0 #179 |
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Je suis accro
Inscrit: 04/08/2005 20:52
Post(s): 514
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C'était l'bon temps François Corbier
Refrain: C'était l'bon temps T'as raison ma colombe C'était l'bon temps C'était l'bon temps Le ciel était bleu La terre était blonde C'était bien mieux Bien mieux avant La vie était un parterre de roses On risquait pas de choper le SIDA On s'contentait de la tuberculose De la vérole avec le choléra Refrain On avançait comme dans un jeu de rôle Si t'avais le pot d'être un peu pédé T'avais le droit de faire cinq ans de taule Les avorteuses étaient guillotinnées Refrain Pour les gamins c'était, je l'imagine, Un paradis, une grande aire de jeu En poussant les wagonnets dans les mines T'imagine pas comme ils étaient joyeux Refrain Tout était clean comme les glaces des vitrines Sans coke, sans crack, sans cristal, sans pétards On respirait le bon air des usines En se soignant la cirrhose au pinard Refrain Personne, jamais, ne mourrait sur la Terre Tout le monde s'emmerdait copieusement Heureusement qu'un jour y'a eu la guerre Et des pédophiles au gouvernement Refrain bis
Contribution le : 19/07/2006 21:47
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C'était le bon temps, c'était bien mieux avant... - Pour les gamins c'était, je l'imagine, un paradis, une grande aire de jeu... - En poussant les wagonnets dans les mines, t'imagines pas comme ils étaient joyeux... |
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quenotte | 0 #180 |
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J'aime glander ici
Inscrit: 20/09/2005 18:43
Post(s): 5648
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Citation :
Oh ben je l'avais pas vue celle-là, en + j'aime bien cette chanson! Merci Andrea!!!! Petit extrait de Croque Vacances par Isidore et Clémentine Croque Vacances Croque Vacances Vive le temps des Vacances Au pays de Croque Vacance Tous les enfants sont amis Venez entrez dans la danse Croque la chance et croque la vie Regardez le soleil les étoiles s'amusent en liberté Et le Lune sous sa toile tisse la nuit d'été Croque la neige et croque printemps Vive le temps de Croque Vacances Lalalalalalala Lalalalalalala Regardez le Soleil les etoiles s'amusent en liberté Et la lune sous sa toile tisse la nuit d'été Croque la neige et croque la chance Vive le temps de Croque Vacances Croque Vacances Croque Vacances vive le temps des vacances .........
Contribution le : 20/07/2006 17:52
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