Pire qu'Hitler...?

Bloodiest Dictators in History

Et malgré ça la démographie progresse...

Citation :
Même si des tarés déciment localement des populations entières, le reste du monde continue de tourner. En cherchant rapidement je suis tombé sur le chiffre de 350000 naissances par jour dans le monde et quasiment moité moins de décès.

Avec les chiffres énoncés dans la vidéo, il aurait fallu qu'Hitler multiplie les meurtres par au moins 20 avant de stopper la croissance mondiale.

Bon c'est du calcul de comptoir, parce que le nombre de naissances était plus faible pendant la seconde guerre mondiale, mais quand même, faut y aller sacrément fort pour faire reculer la population mondiale. Une épidémie incurable et incontrôlable paraît plus probable (bien plus violent que le covid). Ou la terre devenant globalement très difficile à vivre (pas pour tout de suite, mais ça viendra sûrement)

@Gog077
Oui, sur worldometer.com , on trouve ce genre de statistiques.
Ça fait quelque chose comme cinq naissances pour trois décès par seconde (toutes causes confondues), soit une croissance démographique de deux êtres humains par seconde.

Bien sûr, beaucoup de facteurs entrent en jeu, mais on a tout de même remarqué que, contre toute attente, la natalité n'est pas moindre quand une population est en danger. Ce serait un peu comme quand on taille un arbre, c'est une agression qui stimule sa fertilité et qui fait qu'il donne plus de fruits la saison suivante, alors que si on ne l'avait pas taillé, il aurait donné moins de fruits.

Faudrait expliquer ça aux c******s comme Netanyahu pour qu'il foute un peu la paix aux Palestiniens.

Je m'avance peut-être un peu, mais il me semble que des études aient donné comme résultat que ce serait plutôt l'instruction et l'accroissement du "confort" qui tendraient à faire baisser la fertilité d'une population. Alors que les conditions qui rendent incertaine la survie de "l'espèce" stimulerait cette dernière.

Conclusion, il faudrait instruire et éduquer les cassos et les cons pour qu'ils se reproduisent moins... (?) (Attention, je n'ai pas écrit que ceux qui se reproduisent le plus sont des cons et des cassos, mais c'est quand-même cool de penser qu'on peut améliorer certaines choses en améliorant les conditions d'existence des gens plutôt qu'en leur foutant sur la gueule.)

Donc, non, je ne pense pas que même une méga épidémie soit vraiment un moyen sûr pour faire baisser la croissance démographique de manière certaine. Et je déconseille d'en rêver. 

c'était pas plus simple de faire un tableau ?

@blahmeuh
Si, mais là on a l'effet de perspective. Ça représente mieux que des chiffres dans une colonne. Et ça ne serait pas passé sur Koreus.

@alfosynchro Les taux de fécondité sont en dessous des seuils de renouvellement des populations dans tous les continents sauf en afrique.

Article des Echos : https://www.lesechos.fr/monde/enjeux-internationaux/la-population-mondiale-risque-de-diminuer-de-moitie-dici-la-fin-du-siecle-1783516

Je me souviens bien des émissions télé des années 80 où on évoquait que le taux de natalité français était passé en dessous de 2,1 enfants par femme, ce qui amène à une décroissance de la population. La démographie française n'augmente encore que via l'immigration massive. Ce que certains partis politique exploitent sous le terme de "grand remplacement".

La Corée du Sud, en 2025, fait face à un taux critique de survie avec son taux de natalité à 0,7. Certains pays prennent ce problème sérieux en compte et soutiennent une politique nataliste forte, comme la Russie.

Quant aux grandes épidémies, dans les pays développés, elles ne sont plus un problème de santé : elles ont disparues avec l'amélioration des conditions de vie.
Et, non, malgré ce qu'affirme @Gog077, le covid de 2020 n'a eu aucun impact sur la mortalité globale. Malgré l'abandon des soins, voire des meurtres au Rivotril de nos anciens.
Très indirectement, le covid à malgré tout eu un impact avec des centaines de millions de gens qui se sont fait injecter un produit expérimental à base d'ARNm : on note une surmortalité continue depuis 2021, conjuguée à une baisse de la natalité.