Le matin dans la salle de bains :
Lui : Pourquoi tu mets un soutif ? T'as rien !
Elle : Tu mets bien des caleçons, non ?
La voyant dans sa tenue d'Eve :
Lui : On tire un coup, vite fait ?
Elle : Quelle différence cela ferait par rapport aux autres fois ?
Ça continue dans la voiture sur le trajet du boulot :
Lui : On essaye une position différente ce soir ?
Elle : Ouais, bonne idée ! Tu te mets derrière la table à repasser et
je m'assieds sur le canapé devant la télé.
"Chers parents, j'ai vraiment honte de toujours vous écrire pour vous demander de l'argent. Je suis tellement malheureux et je me sens pitoyable... Et même si cette fois encore, je dois vous demander de m'envoyer à nouveau mille francs, toutes les cellules de mon corps se rebellent. Je vous demande humblement de me pardonner . Je sais que pour vous la vie est dure... Votre fils Kévin
P.S.... J'étais tellement mal en écrivant cette lettre que j'ai voulu courir après le facteur qui ramassait le courrier dans la boite aux lettres au coin de la rue pour reprendre cette lettre et la brûler. J'aurai vraiment aimé le rattraper, et j'ai prié le Bon Dieu pour y arriver, mais il était trop tard."
Quelques jours plus tard, l'étudiant reçut une lettre de son père qui disait:
"Le Bon Dieu a entendu ta prière: ta lettre n'est jamais arrivée!"
Ca se passe dans l'ouest américain au siècle dernier.
Dans un bar, il y a une affiche qui dit:
" Repas, et boisson à volonté pour celui qui fait rire mon cheval pendant un mois".
Un cow-boy entre dans le bar et voit l'affiche et déclare que c'est trop facile et qu'il va gagner. Le barman l'informe que l'annonce est présente depuis un an et que personne n'a jamais réussi. Et il l'emmène à la grange. Le cow-boy entre et ressort cinq minutes plus tard après avoir chuchoté quelque chose au cheval. Le cheval se roule par terre tellement il rigole.
Deux mois plus tard, il revient et le cheval est toujours hilare. Dans le bar, le barman lui dit qu'il est prêt à lui donner deux milles dollars s'il parvient à le faire arrêter de rire car il ne peut même plus le monter. C'est très facile, lui répond le cow-boy.
Et ils vont tous les deux à la grange. Le cow-boy entre tout seul et il ressort cinq minutes plus tard. Le cheval est en larmes.
Le barman lui demande comment il a fait. Et le cow-boy lui dit:
"la première fois, j'ai dit au cheval que j'en avait une plus grosse que lui et la deuxième fois, je lui ai montré !!"